Narbo’ et L.E.F. vous invitent à La Dame de Canton le vendredi 17 Février 2017 pour une soirée Hip-Hop.
Dans une maison de retraite la maman reçoit les visites de son fils. Tantôt elle le reconnaît, tantôt elle le confond avec le directeur.
Ces visites sont souvent agitées, pressées, semées de problèmes, de malentendus qui font naître d’étranges cocasseries et loufoqueries.
Nous avons sélectionné pour vous 20 murs marquants de cette année 2016 à travers le monde, réalisés par des street artistes de toutes nationalités. Bon voyage !
Au Théâtre du Petit Montparnasse, la comédienne campe la belle Viennoise qui fit chavirer les coeurs et les corps de quelques uns des génies du tournant du 20° siècle dans l’Empire austro-hongrois : Gustav Mahler, dont elle garda le nom, puis Gustav Klimt, Walter Gropius, Oskar Kokoschka et Franz Werfel. La peinture, la musique, la littérature, l’architecture avaient pour elle le goût de l’amour mais aussi du combat et de la revanche des femmes sur les hommes.
Au Quai Branly, l’exposition L’Afrique des routes nous fait découvrir, ou redécouvrir, l’histoire de l’Afrique et tout ce qui la lie à celle de l’Occident. À voir avant le 12 novembre 2017 !
Les Damoiselles et Tournelune montent sur la scène de la Dame de Canton pour une soirée cabaret rock.
Le groupe Draw the Sky vous convie à la release party d'”Humanity” ce samedi à la Dame de Canton.
Yaëlle & Gregory Deck montent sur la scène de la Dame de Canton pour une soirée pop rock.
Promenade dans l’univers de Jean Cocteau, qui nous fait revivre les moments les plus importants de ses relations avec Carole Weisweiller.
« Tree of Codes » est un spectacle de danse, un ballet endiablé signé Wayne McGregor. Et pourtant! La véritable star est le célèbre plasticien danois qui emporte tout par un bouquet final où les dorures de la salle Garnier font partie du spectacle. Et on termine sur le sentiment d’avoir vécu un moment exceptionnel.
Elle est Blondino et brouille des pistes en tout genre. une illusionniste qui traverse des miroirs à l’infini, flotte et chante dans des jardins suspendus avec un piano et une guitare.
Elle est Blondino, une silhouette enroulée dans le blizzard. La jeune femme s’enfuit dans les profondeurs de la ville et sème sur son passage un troublante mélancolie, lumineuse et glacée qui nous embrasse et fait frissonner l’échine.