Le Pavillon Français de la Biennale de Venise est transformé par Xavier Veilhan en un dispositif musical dans lequel des musiciens professionnels du monde entier, invités par l’artiste et les commissaires du pavillon, Christian Marclay et Lionel Bovier, interviendront pendant toute la durée de la manifestation.
Rires ! Ce qui revient à dire que la force de cette pièce tient à ses rebondissements et qu’en conséquence elle ne se déflore pas. Le sous-titre peut en être le théâtre des coups de théâtre. Revenons à notre affaire.
Mary Skeaping (1902-1984) est une danseuse et chorégraphe anglaise. Elle débuta sa carrière dans la compagnie d’Anna Pavlova puis fut maître de ballet du Sadler’s Wells. Sa version de Giselle qui puise aux sources de la tradition russe est une très belle production programmée par l’English national ballet sur la scène du Colyseum du 11 au 22 janvier.
Les fans de musique électronique comptent les jours jusqu’à cette célébration, et pas n’importe laquelle, la soirée de lancement de “French Waves” le 23 février 2017. Les murs du Rex Club en tremblent déjà !
La Petite Galerie, espace dédié à l’éducation artistique et culturelle, proposera au public, pour sa 2e saison (2016 / 2017), de s’initier à la représentation du « Corps en mouvement ». À cette occasion, le musée du Louvre invitera un art vivant : la danse.
À peine adolescent, le Malien Pédro Kouyaté fait son apprentissage musical dans l’illustre groupe Symétric Orchestra de Toumani Diabaté. Il obtient sa licence de socio-anthropologie à Bamako, avant de quitter sa ville natale pour accompagner à la calebasse le bluesman malien Boubacar Traoré. En 2006, il s’installe à Paris et crée sa propre formation, Pédro Kouyaté & Band, entouré de quatre musiciens de jazz. Il peut enfin interpréter des compositions de son cru, inspirées de ses origines maliennes, mais aussi de ses découvertes et rencontres en Occident. Personnage principal du film musical Foly de Sophie Comtet Kouyaté à Bamako, il se produit par la suite dans le métro parisien.
Alsarah, « the new star of Nubian pop » selon The Guardian, vient de Brooklyn et puise sa force musicale de son pays natal, le Soudan. Elle s’honore d’un parcours musical complet : à la fois auteur compositeur et interprète, mais aussi ethnomusicologue ; un parcours qu’elle complète aujourd’hui avec le groupe The Nubatones.
Après 10 ans d’absence, le théâtre revient dans l’auditorium de l’IMA avec une représentation unique du Rouge du Tarbouche, d’après le roman éponyme d’Abdallah Taïa, dans une adaptation singulière du metteur en scène Frédéric Maragnani.
Cʼest un héros aux multiples facettes que présente Eric Vigner dans cette version très personnelle de Tristan et Yseult où pour la première fois le metteur en scène monte un de ses propres textes. Loin de toute reconstitution historique, il revisite la légende dans un spectacle où temps et espace se télescopent sous le signe du mythe.
Guitariste parmi les plus réputés du monde flamenco, Juan Gomez « Chicuelo » est aussi l’un des compositeurs les plus originaux de sa génération.
L’art s’est démocratisé c’est indéniable. Les espaces d’expositions foisonnent et les tarifs d’entrée sont suffisamment bas ou aménagés pour permettre au plus grand nombre d’y accéder.
Après 20 danseurs pour le XXesiècle, l’Opéra de Paris intègre à son répertoire À bras-le-corps.