Saison 1, série théâtrale en trois épisodes, traite de notre rapport à la réalité et à l’impossibilité de ne pas la fictionnaliser.
Une galerie de personnages vient nous conter la trajectoire à la fois banale et incroyable d’une jeune femme qui se fait agresser dans un métro sans qu’aucun des voyageurs n’intervienne. Pourquoi personne n’a-t-il bougé ?
Les artistes explorent les liens complexes tissés de gré ou de force entre Afrique et Amériques suite à la traite des Noirs.
Au détour d’un dîner, les révélations faites à travers le baby-phone d’une chambre d’enfant vont créer un véritable cataclysme au sein d’une famille et d’un groupe d’amis…
Sous l’Occupation allemande, dans une petite ville française, l’arrivée d’un nouveau prêtre suscite l’intérêt de toutes les femmes… Barny, jeune femme communiste et athée, ne saurait cependant être plus indifférente.
Tout navigue sous de faux pavillons, disait Kafka, et les “personnages” du spectacle sont les premiers à en témoigner… Et à ironiser sur la parfaite adaptation à l’artifice des postures sociales, des jeux de rôles, des normes conformistes qui nous façonnent et nous coulent dans des personnalités d’emprunt, aujourd’hui peut-être plus que jamais. Le temps ne fait rien à l’affaire et toute l’histoire est recyclable dans notre monde des apparences et des vérités formatées.
Entre deux films, en Corse ou à Paris, André Waksman peignait ou dessinait avec le même esprit de liberté que pour ses productions audiovisuelles. Motivé par l’envie, et un besoin vital de créer, il nous présente 60 ans de dessins et de toiles avec des techniques variées, sans théories, ni thèmes.
Dans les montagnes et le désert du Kurdistan, des femmes luttent contre Daech et défendent leur territoire.
Yves Marcellin, Artiste-Photographe, est tour à tour, portraitiste et plasticien. Il ne refuse aucune expression figurative ou abstraite dans l’univers photographique ou digital. C’est dans la diversité des approches qu’il entend développer sa démarche créative.
Un mois pour un festival dédié entièrement aux jeunes auteurs chorégraphiques. Les Incandescences, c’est le moment où l’on privilégie la diversité des styles, la bousculade d’univers, le chahut dans les gradins, les humeurs loufoques, les paroles engagées, les arts mêlés : un éclairage sur la danse qui se fabrique aujourd’hui. Une danse bien vivante, de tous les sens et à partager avec un public attendu et curieux !
Ad Reinhardt, qui s’y connaissait, a donné cette cruelle et drolatique définition de la sculpture : l’objet contre lequel on bute lorsque on se recule pour regarder une peinture. Bertrand Lavier a toujours évité ce malheureux dilemme car il s’est employé, depuis ses débuts il y a plus de 40 ans, à se jouer de l’opposition académique de ces deux figures imposées des Beaux-Arts.
Quels sont les films qui sortent en Mars dans les salles obscures ? De nombreuses bonnes surprises sont à l’affiche ! Des films pour se faire plaisir, se détendre, passer un bon moment entre amis ou en amoureux…