Après l’humour, après l’amour, laissons chanter le cinéma russe !
Greg Graffin, leader du célèbre groupe punk de Los Angeles « Bad Religion », ainsi qu’un auteur de renom, s’apprête à sortir un album solo intitulé « Millport » le 10 Mars 2017, via son label ANTI-.
Portraits de femmes réfugiées syriennes réalisés par Benoît DURAND, étudiant à l’EFJ.
Chez Kongo, pas de figuratif, mais plutôt des symboles. “Les lettres sont des vecteurs d’émotions. Elles forment des mots qui forment des phrases qui forment de la poésie. Ça devient de l’abstrait. En Asie, où je travaille beaucoup, ils ne comprennent pas notre calligraphie mais plutôt un sentiment.” Les lettres, il les compresse, les transforme en volume et crée ainsi une empreinte au-delà du message.
Inédit en Europe : une rétrospective est consacrée à l’œuvre du photographe américain Harold Feinstein (1931-2015). Avec Optimisme Contagieux la Galerie Thierry Bigaignon nous en offre une mise en lumière délicate.
La suite du film mythique sur scène en Dream live exécutée par les Eight Killers qui après les plus grandes scènes Européennes reçoivent le trophée du meilleur concert live de l’année ainsi que le sound live trophy à Londres.
La Galerie Artistik Rezo accueille l’artiste Romain Froquet pour un nouveau solo show. Intitulée Lunaire, cette exposition présente l’univers onirique, fluide, vibrant et coloré de Romain Froquet.
Le célèbre Péplum de 4h00 est ici résumé en 1h00 de rire. Et tout y est ! De la fameuse course de chars aux costumes d’époques : toges tuniques, glaives et sandales…
Les Machines Urbaines, des voyages plastiques dans des lieux atypiques. A chaque édition, un nouveau lieu met en route une nouvelle machine. Une multitude d’artistes (peinture, dessin, installation, sculpture, objet…) sont sélectionnés par un commissaire qui travaille étroitement avec le collectif. Chacun s’approprie pleinement l’espace pour y présenter son univers artistique.
Cinq portraits malicieux croqués dans un décor de boudoir variant sur des airs de jazz pour faire swinguer l’alternance des tempéraments.
Photographe et cinéaste français d’origine roumaine, Eli Lotar (Eliazar Lotar Teodorescu, Paris, 1905-1969) arrive en France en 1924 et devient rapidement l’un des tous premiers photographes de l’avant-garde parisienne. Proche de Germaine Krull qui lui apprend le métier, et plus tard des surréalistes, il publie dans les revues d’avant-garde — Vu, Jazz, Arts et métiers graphiques —, et participe à plusieurs expositions internationales majeures, parmi lesquelles « Fotographie der Gegenwart », « Film und Foto », « Documents de la vie sociale ».
Au Théâtre du Rond-Point, Frédéric Bélier-Garcia, patron du Quai à Angers, met en scène l’une des dernières pièces de Marie NDiaye qui plonge dans les bas-fonds du monde politique. Pas question, comme le suggère notre actualité, de céder à la facilité du “tous pourris”, mais plutôt de disséquer les travers d’une dévotion béate à un élu, ainsi que la dépendance des opposants au jeu politique. Isabelle Carré, hiératique, et Patrick Chesnais, impuissant, sont les deux héros de cette fable qui décode les codes du politiquement correct.