« Janvier 2016. Un collectionneur nous fait part avec enthousiasme d’une découverte inhabituelle et exceptionnelle. Il a, quelques jours plus tôt, retrouvé des œuvres qu’il connaissait mais dont il avait totalement oublié l’existence. Nous avons devant les yeux les quatre premières mosaïques d’Invader en 1997, avant l’invasion. »
Au Centquatre-Paris, dans une programmation partagée avec le Théâtre de la Ville, Emanuel Gat réunit deux œuvres phares de son parcours, revisitées et mises en exergue pour une soirée qui commence chaude et termine sur un bel apaisement. Stravinski dansée en salsa dramatique, et le double génie de Glenn Gould, pianiste et créateur radiophonique. Par l’une des meilleurs compagnies de danse contemporaine.
Pour sa deuxième édition qui se tiendra du 20 au 23 avril 2017, Urban Art Fair accueille dans les espaces du Carreau du Temple une trentaine de galeries françaises et internationales spécialisées en art urbain. Pour la première fois cette année, la foire investit l’Espace Comminescavec l’exposition « Cannot be Bo(a)rdered » et propose un parcours Hors Les Murs.
Des lignes, des courbes, nuances de gris ou chromatiques, en dessin ou en volume, l’univers artistique de Gilbert1 est aussi hétéroclite que cohérent. Un style bien personnel mais en perpétuel renouvellement que l’artiste plasticien nous fait découvrir en vue de sa prochaine exposition.
Le samedi 8 avril 2017, le premier musée d’art urbain de Paris ouvre ses portes rien que pour vos enfants!
Pour Pierre Arditi l’occasion émouvante de camper un homme qui a perdu foi en la vie. Fable philosophique sur la vanité de l’ascension sociale, le spectacle permet d’admirer le comédien qui donne à ce héros kafkaïen une puissante humanité.
Lunaire, Pierre Richard l’est merveilleusement. Il emporte le public avec poésie et bonheur au milieu des étoiles. Le petit éloge de la nuit est un bijou dans un écrin noir brillant, grâce à cet acteur, des vidéos superbes et une symbiose entre les arts.
Un tout nouveau groupe électro pop se lance. L’occasion pour nous d’aller à sa rencontre surtout que Laskiz est à suivre de près !
À la faveur des beaux jours, les 150 marchands du plus grand marché des Puces organisent la première édition de ce rendez-vous artistique : chacun d’entre eux accueille sur son stand un artiste dont il est le curateur d’un mois.
Qui devinerait que derrière ce visage poupin, cette chevelure frisée explosive, ce regard bleu cascade et ce sourire épanoui se cache une swingueuse piquante ? On la découvre avec l’un des meilleurs titres de l’album Let’s Get Lost : Each Day en duo avec Matt Simons.
À la Cité de la mode, l’exposition Studio Blumenfeld : New York 1941-1960 retrace la relation du photographe avec la presse et la publicité. Une invitation à découvrir sa constante soif d’exploration et sa recherche d’une identité par la couleur qui a influencé l’Amérique.
Léonard Lasry mêle depuis plusieurs années la musique et son goût pour la mode, l’art contemporain et le cinéma. Après avoir collaboré avec Valentino, Dior, les photographes Ali Mahdavi, Maripol, signé les chansons originales du long métrage « Jours De France » et sorti trois albums, il revient avec le EP Le Seul Invité.