Cinq ans après son dernier album solo « Îl », plein de douceur et de poésie aux teintes bleutées, -M- est de retour avec une nouvelle aventure ensoleillée.
Le premier spectacle de l’histoire à faible consommation d’énergie !
Vous ne le saviez peut-être pas mais autour de nous se planifie le plus grand projet urbain d’Europe : le Grand Paris Express. 200km de nouvelles lignes de métro d’ici 2030, 68 nouvelles gares connectées… Et une programmation artistique et culturelle tous azimuts.
Quand on pense Art et Normandie, on pense aux Impressionnistes mais pas à Picasso ! Pourtant, le peintre a élu domicile dans l’Eure de 1930 à 1935. Une saison Picasso ce ne sont donc pas une, ni deux, mais bien trois expositions, à Rouen, consacrées à cette période de la vie du peintre.
Fingers and Cream et Call me Max montent sur scène pour une soirée Folk Rock et Groove Folk.
Café Bizarre et Grand Morse montent sur la scène de la Dame de Canton pour une soirée pop indé.
Depuis un peu plus de vingt ans les frères Dewaele, Stephen et David, multiplient les projets les plus fous mais aussi les plus créatifs que ce soit sous 2Many DJ’s ou encore Soulwax. Accrochez-vous bien. En l’espace de quelques années ils ont créé le Despacio, club miniature ambulant où durant plus de 8h ils passaient des vinyles avec leur pote James Murphy de LCD Soundsystem, sans parler de leur projet radio Soulwax ou ce n’est pas moins de 24 mix de chacun 1 heure qui ont été élaborés ou plus récemment encore la bande originale de Belgica pour laquelle ils ont donné vie à pas moins de 10 groupes virtuels pour composer l’habillage musical du film de Felix Van Groeningen.
Le Bridget Jones au masculin !
Quel processus est à l’origine d’une œuvre musicale, la notion d’atelier est-elle pertinente pour la cerner ?
Une fable tragico-immobilière à déguster entre noix et comté.
Des séquences mouvantes à la narration sophistiquée, des contre-plongées saisissantes qui dévoilent le siècle, des montages numériques prémonitoires. Autant de techniques mais un seul format, ou plutôt un seul et même écran, celui de l’usine à rêve. Car Pierre-Emmanuel Chatiliez vient du cinéma et ça se voit.
Aux humains, ces choubidous, capables du pire comme du pire.