Ce week-end à Paris… du 17 au 19 février
Qui a dit que l’amour ne devait être célébré que le 14 février ? Profitez de votre week-end pour faire découvrir la richesse culturelle de Paris à votre partenaire. Si vous n’êtes pas des plus familiers avec cette dernière, pas de panique, l’équipe d’Artistik Rezo s’en charge pour vous.
Vendredi 17 février
Parmi les spots les plus romantiques pour les amoureux d’art, direction L’Atelier des Lumières. Après avoir partagé les murs de ce dernier aux côtés de Monet et Renoir, le peintre surréaliste Chagall aura le droit à sa propre exposition jusqu’en janvier 2024.
Considéré comme l’un des plus grands artistes du XXe siècle, à la fois peintre et graveur, Marc Chagall mélange les cultures juives, russes et françaises pour créer son propre style. L’exposition regroupe les plus grandes œuvres de ce peintre, qui ont été inspirées des évènements importants de sa vie, des actualités historiques qui ont bouleversé son époque, entre autres. Empruntant ses traces, nous pourrons voyager à notre tour de la Biélorussie à New York, en passant par Paris et Berlin.
L’Atelier des Lumières a fait le choix de faire honneur à son intérêt pour l’opéra, à son bestiaire imagé, sa culture biblique, son amour pour sa femme et de reprendre les motifs récurrents de ses œuvres. Cette rétrospective immersive rend hommage à la créativité de l’artiste et permet d’admirer toute la puissance de son œuvre, au rythme de chansons entraînantes qui donnent vie aux œuvres projetées.
En deuxième partie de visite, vous pourrez découvrir le peintre Paul Klee, dans le nouveau programme court de l’Atelier. Ses œuvres abstraites particulièrement colorées et ludiques seront regroupées pour l’exposition Peindre la musique.
Vous connaissez peut-être ce grand artiste du XXe seulement pour ses œuvres abstraites, cette exposition est l’occasion de vous faire découvrir sa double casquette. Saviez-vous qu’il est né dans une famille de musiciens, et qu’il a reçu une formation musicale de haut niveau avant d’enseigner lui-même cet art ? Peut-être que vous vous en doutiez, car son art est particulièrement influencé par la musique et on retrouve cette passion dans la composition de ses images, dans ses sujets, dans le rythme de ses œuvres.
N’attendez plus et profiter des différentes offres tarifaires pour (vous) offrir ce moment intime.
Après votre visite de l’Atelier des Lumières, vous souhaitez continuer avec une comédie sensible ? Rendez-vous au Théâtre Monfort pour (re)découvrir Kamel Abdessadok, seul sur scène pour sa pièce J’attends que mes larmes viennent. Ce spectacle mélange one man show intime et théâtre.
Assurant sa sincérité, Kamel Abdessadok, homme français d’origine algérienne, entre deux âges vous raconte ce qui pourrait être son histoire. De multiples identités et autant de personnages, Kamel parle, plaide, danse, chante, accompagné des objets de sa vie auxquels il rend hommage.
Il baisse le masque et se met à nu. Avec lui, le quatrième mur est un voile léger qui se soulève volontiers pour des apartés complices. Si on considère le seul en scène comme le spectacle de l’intime, celui dans lequel l’artiste « se livre », Kamel Abdessadok se joue du flou.
Toujours entre deux vérités, le récit et la fiction, l’image et la réalité, il pointe avec dérision nos incohérences qui sont également les siennes. On y retrouve l’humour et l’amour de l’absurde du collectif Les 26 000 couverts, dans lequel on a découvert Kamel Abdessadok.
Avec la complicité d’Anne-Élodie Sorlin, une ancienne des Chiens de Navarre à qui il a demandé de le mettre en scène, il s’offre à nous, drôle et ultrasensible. Selon elle, cette pièce est “l’histoire d’une rencontre en filigrane. Kamel a demandé quelqu’un qui ne le connaissait pas de l’aider à parler de lui. C’est l’histoire de quelqu’un qui, en se dévoilant de plus en plus à moi, se dévoile de plus en plus à nous.”
Un spectacle à découvrir jusqu’au 18 février.
Si vous êtes plutôt du genre casanier, quoi de mieux que le one man show Comme à la maison de Philippe Lellouche ? Les 17 et 18 février, le Théâtre de la Clarté vous accueille pour la création du nouveau projet de cet acteur, réalisateur et chanteur.
Après avoir triomphé au théâtre, Philippe Lellouche monte seul sur scène, pour partager son quotidien, mais aussi sa vision de la vie, du monde, sans oublier l’arrêt des slows… Avec beaucoup de sincérité, d’humour et de bienveillance, Philippe Lellouche vous reçoit sur scène, comme à la maison…
Samedi 18 février
Après une grasse matinée bien méritée, tous les amoureux d’art contemporain et curieux sont invités au festival Art Capital au Grand Palais Ephémère. Promenez-vous parmi les quatre salons présents sur place pour découvrir les 2 000 artistes présents.
Créé en 2006, ce festival souhaite présenter l’œuvre d’artistes émergents ou confirmés. Les salons, la Société des artistes indépendants, le Salon des artistes français, le Salon Comparaisons et le Salon du dessin et de la peinture à l’eau convient galeristes, collectionneurs, professionnels ou amateurs.
Au total, Art Capital regroupe près de 2 000 artistes de disciplines diverses : peintres, sculpteurs, graveurs, photographes, plasticiens et architectes se côtoient le temps de cinq jours. L’évènement idéal pour partager sa passion avec des personnes d’horizons diverses.
Pour cette nouvelle édition, la programmation a été alimentée par des œuvres exclusivement créées pour l’évènement et des incités de marque. Vous pourrez y rencontrer une délégation d’artistes polonais (aux Artistes Français) ou Enki Bilal (chez Dessin & Peinture à l’eau), entre autres.
Vous pourrez profiter de cette rencontre artistique jusqu’au 19 février, alors réservez vos places dès maintenant.
Pour tous les noctambules, l’équipe d’Artistik Rezo vous révèle où profiter d’une ambiance électronique. À commencer par Glüme et The Operator qui vous attendront au POPUP ! ce samedi soir.
Glüme est née et a grandi dans la Cité des Anges. Après avoir goûté pour la première fois au grand écran en tant qu’actrice enfant, elle a jonglé entre l’entraînement de sa voix, l’exploration de la musique et la lutte contre sa santé.
Ses divers problèmes auto-immuns ont fini par évoluer vers une maladie cardiaque appelée Prinzmetal. Elle a le sentiment que son corps et son âme ne sont pas tout à fait compatibles avec ce monde… mais elle aime visiter et écrire sur les gens d’ici.
Sa musique se heurte aux carrefours où demain a oublié hier. Imaginez une séance de spiritisme avec Norma Jean dans le rôle de Marilyn Monroe, animée par Julee Cruise. C’est une musique de loge noire pour la jeunesse bleue de l’ère Internet. Glüme est une nouvelle étoile scintillante dans la galaxie des Italiens qui font mieux.
Vous pourrez la rencontrer aux côtés de The Operator, un duo lancé en 2019 par la chanteuse Sophie Thibaud et le producteur electro Antoine Mounier. Après Danser, un single paru en août dernier sur After Dark 4, une compilation réunissant des artistes hébergé·es par Italians Do It Better, The Operator lâche Words, une reprise du chanteur français F. R. David, auteur de cet énorme tube en 1982.
Une soirée qui s’annonce… explosive !
Autre grand évènement à ne pas rater : le Bal Electrique#7, qui revient en force ce samedi au Point Fort d’Aubervilliers, et la programmation de cette nouvelle édition a l’air folle.
Le Mange Bal vous invite à danser sur du folk électro : « Oublie tout ce que tu sais sur l’accordéon, la clarinette et les bals populaires. Le Mange Bal vient cuisiner le bal folk en l’arrosant de beat pimenté et de basses juteuses ! L’Electro-Trad festive du Mange Bal mélange les danses traditionnelles et les musiques électroniques sur les dancefloor et sur les parquets. Viens rencontrer l’ogre du Mange Bal dans une soirée inoubliable entre le bal folk et la free-party ! »
La soirée accueillera Beat Bouet Trio, spécialistes du hip-hop trad : « Imaginez… un bal breton, métissé de rap US avec des textes engagés, ça fait rêver non ? Pour comprendre la démarche du Beat Bouet Trio il faut remonter aux années 90, dans la campagne de Ploërmel (Bretagne). Dans le bus scolaire, vous vous souvenez que les sièges du fond étaient toujours occupés par les trois mêmes. Ils faisaient du bruit, écoutaient NTM et Eminem et racontaient des histoires incroyables. On parlait de mobylette, de filles, de graff et de hip-hop, en français ou en patois. Ben oui, parce que ces trois-là venaient de la campagne et parlaient un langage à eux, entre gallo, français et « US english ».
Dans les années 2000, ils ont grandi (mais pas trop quand même) et tout naturellement, les trois sont devenus musiciens. Ils chantent des chansons apprises avec leurs papys, mais sur un fond hip-hop ou raggamufin. Vanao est à l’accordéon, T Burt au human beat box et Faya Gur à la voix, pour mener un bal hip-hopulaire décalé et intergénérationnel. »
Surtout ne ratez pas l’ouverture des portes à 19h, qui sera suivie d’une initiation danse de 19h30 jusqu’au début du concert.
Dimanche 19 février
Pour faire perdurer la fête, enfilez votre meilleur déguisement pour participer au Carnaval de Paris Promenade du Bœuf Gras, Place Gambetta. Evénement incontournable du mardi gras, le traditionnel Carnaval de Paris est de retour pour sa 25e édition.
Cette année, le thème, que vous décidez de suivre ou non, est : le monde végétal sous les étoiles. Cet évènement festif à la fois libre, bénévole, est bien évidemment gratuit. Vous êtes le bienvenu pour faire partie du cortège haut en couleur qui s’annonce. Aucune inscription n’est nécessaire, venez quand cela vous chante.
Pour rappel, l’autre défilé traditionnel du Carnaval de Paris se déroulera simultanément. Le cortège des Reines des Blanchisseuses de la Mi-Carême est le Carnaval des femmes. Ces dernières sont invitées à se costumer en reines et les hommes en femmes.
Choisissez le cortège qui vous sied le mieux, et à votre tour de défilez à travers les rues de la capitale, qui s’annoncent particulièrement animées !
Si vous préférez vous reposer, ce qui se comprendrait tout à fait, le Théâtre Essaïon vous accueille pour le lancement de la pièce Fridalilogue, une pièce contemporaine qui retrace la relation entre Salvador Dalí et Frida Kahlo.
En 1953, Salvador Dali, de passage au Mexique, vient rendre visite à Frida Kahlo dans la “Casa Azul”. Ils échangent des confidences sur leurs traumatismes, leurs croyances, leur rapport aux autres et se lancent des remarquent acerbes sur leur façon de peindre, leur physique, leurs options politiques et leur position par rapport au surréalisme.
Frida Kahlo est en fin de vie avec des souffrances atroces, elle a été amputée de sa jambe et se déplace en chaise roulante, Dalí et son énergie explosive, sa faconde, ses circonvolutions verbales et son narcissisme la fatiguent et l’exaspèrent. Quant à Dalí, il méprise à tort ses peintures et ne supporte pas son franc parler trop direct.
Mise en scène par Dominique Fataccioli, Fridalilogue est écrite par Brigitte Bloch-Tabet. A travers sa pièce, cette dernière souhaite :
“Confronter ces deux monstres sacrés de la peinture qui parlaient la même langue, avaient fréquenté les mêmes galeries mais qui présentaient tant de disparités tout en étant embarqués dans le même courant du surréalisme qu’ils contestaient tous les deux. Ces deux icônes aux façons de parler si différentes, aux attitudes et expressions si opposées et aux idées politiques si antagonistes offraient scéniquement un spectacle truculent. L’un avec sa sophistication, ses délires, l’autre avec son franc parler parfois vulgaire ainsi que leurs styles picturaux offraient aux spectateurs une succession de tableaux évoqués ou inventés, conçus pour faire travailler leur imaginaire.”
La pièce sera à découvrir jusqu’au 4 avril.
À la veille des Jeux Olympiques 2024, organisés en France, l’INSEP s’engage aux côtés du photographe Tom Bartowicz pour dénoncer les violences sexuelles dans le sport. L’exposition « Cri d’alerte », la voix de Sarah Abitbol a pour ambition de sensibiliser de manière subtile, d’ouvrir à des discussions tout en proposant une exposition visuellement agréable.
À travers une sélection de vingt photographies jamais exposées en France, l’exposition aborde la thématique des violences sexuelles dans le milieu du sport. L’objectif de l’exposition est de poursuivre le travail de libération de la parole lancé par Sarah Abitbol. De continuer à briser le tabou qui entoure souvent les agressions sexuelles, d’inciter les victimes à parler librement et à demander de l’aide.
Le 5 janvier dernier, en présence de Brigitte Macron, la Ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, Amélie Oudéa-Castéra a remis la médaille de chevalier dans l’ordre national du Mérite à Sarah Abitbol pour son combat contre les violences sexuelles. C’est à cette occasion que l’exposition photos Cri d’alerte, créée dans le cadre de l’association “La Voix de Sarah” a fait sa grande première.
Sarah évoluant dans le monde du sport, le choix d’ancrer l’exposition dans ce cadre s’est imposé de manière naturelle. Les photographies ont été prises dans plusieurs centres sportifs afin de pouvoir représenter différentes disciplines et différentes victimes. Néanmoins l’exposition s’adresse à tout un chacun et l’équipe artistique ainsi que l’association espèrent que le message voyagera bien au-delà du cadre sportif.
La photographie est un moyen d’éveiller les consciences, de mettre en lumière les histoires des victimes. Elle permet de figer un instant dans le temps, de capturer un regard, un geste, un sentiment, une émotion.
Dans cette exposition, les victimes de ces violences sont mises à l’honneur. L’artiste Tom Bartowicz y représente l’expérience psychologique et physique qu’elles traversent. Chaque photo possède son propre concept et suscite une émotion singulière. Par son souci du détail, l’artiste parvient à nous raconter toute une histoire en un cliché.
Certaines photographies flirtent avec l’irréel et possèdent une touche légère d’onirisme. Le photographe nous fait découvrir des réalités douloureuses à travers des œuvres originales et poétiques.
Cette exposition d’une importance capitale pour la lutte contre les violences sexuelles est à (re)découvrir jusqu’au 30 juin.
Le programme de ce week-end ne pourrait être terminé sans penser aux plus petits, qui démarrent leur première semaine de vacances. Pour tous ceux qui seront chargés d’occuper leurs bambins, Artistik Rezo vous présente le Festival Tout-Petits Cinéma.
Pour cette nouvelle édition, le festival vous propose huit ciné-concerts, à découvrir en famille au Forum des Images. Adapté pour les enfants de 18 mois à 4 ans, il permet la découverte du cinéma sur grand écran aux plus jeunes.
Le programme a été conçu pour s’adapter à la capacité d’attention et de concentration des enfants, les films proposés sont de courtes durées et le plus souvent accompagnés d’interventions d’artistes du spectacle vivant : musiciens, marionnettistes, conteurs, chanteurs… Deux séances par jour sont prévues pour organiser votre planning familial.
Ce dimanche sera diffusé à 11h et à 16h, l’animation « Jeux dans l’eau ». Pour l’occasion, cinq films colorés, festifs et drôles seront diffusés.
- Au-delà du barrage d’Alix Penon (2017) ;
- The Unwashed Penguin d’Isabelle Favez et Alexey Mironov (2015)
- La Mésange et la chenille de Lena Von Döhren (2017) ;
- Maman héron de Marina Karpova (2015) ;
- Hee Hee Hatty de Tomasz Glodeck (2014)
Durant trois samedis, dimanches et deux mercredis de février, vous avez rendez-vous à la séance du matin ou celle de l’après-midi. Comptez 6 € la séance pour votre enfant, 8 € pour vous ou 4 € si vous disposez de la carte Forum Liberté. Vous pouvez découvrir l’ensemble de la programmation à cette adresse.
Pour accompagner ce week-end en musique…
C’est avec Projet Insecte…
Bienvenue dans les premières fondations urbaines et sombres de Projet Insecte !
Yohan, 22 ans, d’origine française et colombienne, a commencé à le bâtir dans sa chambre, servant de studio à Berchem, commune collée à la ville d’Anvers.
Son EP « Negatief » (« Négatif » en flamand) suit de près le premier album éponyme Insecte sorti en octobre. « Negatief » a plusieurs textures et forme un tout atypique, forgé par le mélange d’influences de l’artiste.
D’abord inspiré par le Doom Metal de Type O Negative, Alice In Chains et Black Sabbath, que l’on retrouve dans les sonorités graves et lourdes, Yohan découvrira par la suite un de ses groupes contemporains préférés : Hangman’s Chair. Celui-ci devient une de ses influences majeures, et l’ouvre à la Cold Wave vers des groupes comme Cure, qu’on distingue par les sonorités froides et mélancoliques des deux albums. Le hip-hop prend également une place importante dans sa musique avec des artistes tels que Suicide Boys on encore PNL, ainsi que le trip hop avec Gorillaz, Public Memory et Massive Attack ! La collaboration avec le rappeur français ATH sur Negatief apporte cette couleur hip-hop, dans la musique Sur les ponts.
Sa conjointe, Clara, s’est greffée au projet depuis le mois de janvier. Installée à Londres depuis septembre, Yohan l’a rejoint pour l’hiver afin de commencer à bâtir une identité musicale. Après avoir interprété une partie du premier album avec Prison, le couple décide de s’associer en novembre.
D’abord manageuse, Clara finit également par chanter avec Yohan dans “Une Réponse” sur l’EP de Negatief. Elle joue aussi dans le clip du single phare de l’album “Négatif”, sorti mercredi dernier, chanté par Émeline Claudel, chanteuse et comédienne originaire de Paris. Projet Insecte devient alors un rendez-vous des arts londoniens entre shootings, clips et musiques.
De nombreux projets sont actuellement en cours : un live se prépare pour septembre, mais le groupe travaille déjà sur la préparation d’un troisième album, sur le thème de la femme.
Si vous souhaitez découvrir l’ensemble de leur univers, cliquez sur cette adresse.
Artistik Rezo vous souhaite un bon week-end !
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