WHITESNAKE en concert le 4 juin au Casino de Paris
Whitesnake est un groupe de Hard-Rock britannique fondé par David Coverdale, ancien chanteur de Deep Purple, qui connu d’abord un grand succès d’estime en Europe et au Japon avant de remporter un succès commercial retentissant aux Etats-Unis au milieu des années 1980.
Durant leurs premières années, leur musique se rapprochait d’un Hard-Rock orienté Blues. Les membres incluaient également Jon Lord et Ian Paice de Deep Purple ainsi que Bernie Marsden, Micky Moody et Neil Murray.
Les albums “Ready an’ Willing” ou “Come an’ Get it” sont des classiques du Hard-Blues.
Après des changements importants dans la composition du groupe, Whitesnake sort en 1984 Slide it in, qui sera album de platine et qui voit l’arrivée de John Sykes. Mais leur plus gros succès sera l’album “1987”, notamment avec la ballade “Is this love” et les morceaux “Here I go again” et “Still of the night”.
En 1989 sort l’album “Slip of the Tongue”, où apparaît le talentueux guitariste Steve Vai, qui ne sera pas un grand succès commercial mais possitionne, cette année-là, le groupe en tête d’affiche du festival “Monsters of Rock”. Après une compilation éditée en 1990, le groupe reste inactif jusqu’en 1997, année de sortie de l’album “Restless heart”.
En 2003, Whitesnake se réuni pour une tournée commémorative de ses 25 ans d’existence. Le groupe se réuni de nouveau en 2006 pour une grande tournée européenne, passant notamment par Toulouse où ils font salle comble. Leur dernier album en date “Good To Be Bad” est sorti le 28 avril 2008, et bénéficie d’une tournée mondiale en 2009 qui passera par le Casino de Paris le 4 juin.
L’ex-chanteur de Deep Purple a su réunir autour de lui une impressionnante armada de musiciens. Parmi eux un certain Doug Aldrich, connu pour avoir joué dans des groupes tels que Lion, Hurricane, Bad Moon Rising ou encore Dio.
C’est avec lui que Coverdale a composé l’intégralité des titres qui figurent sur ce revigorant “Good To Be Bad”, un disque studio qui mèle belles mélodies vocales et fougueux chorus de guitare. Whitesnake a retrouvé une âme, et ceux qui manqueront ce show, laisseront peut-être passer leur ultime chance de voir ou revoir WHITESNAKE sur scène.
JETT EVILAND
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