The Postmarks – Memoirs at the end of the world
Une pop cinématique, savamment orchestrée, empruntant tant à l’insouciance des sixties (Burt Bacharach, Françoise Hardy, The Carpenters) qu’à la Twee pop des années 90 (St Etienne, Broadcast).
Né dans un bar de Manhattan, “Memories at the end of the world” emprunte des sentiers plus sombres que son prédécesseur. Enregistré entre août 2008 et février 2009 après la sortie confidentielle de “By the numbers” (un album de covers, sorti en novembre 2008), le deuxième album des Floridiens offre 13 chansons portées par “No one said this would be easy”, single tout en violon et voix passionnée mais lointaine. Née à Tel Aviv, la chanteuse/songwriteuse Tim Yehezkely a intégralement composé le disque dans le home-studio de The Postmarks, un groupe américain et pourtant francophile, passionné de culture européenne et de films aux ambiance rouge sang, comme “Horror Express” (1973), de Christopher Lee.
Entre incursions discrètes dans le dub reggae et arrangements grandiloquents mêlant électronique et classique, “Memoirs at the end of the world” est un disque atmosphérique à plusieurs facettes, mariant l’esthétique aux mélodies qui font mouche.
Memoirs at the end of the world – The Postmarks
Sortie le 25 mai 2010
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