Pèpète B – Les Déchargeurs
Pèpète B De et avec Kévin Pétureau Mise en scène par Mathieu Milella et Erwan David Du 19 juin au 10 juillet 2014 Les jeudis à 21h30 Tarif plein : 24,99 € Réservation en ligne ou par Tel 01 42 36 00 50 Durée : 45min Les Déchargeurs |
Du 19 juin au 10 juillet 2014 Pépète est victime d’une injustice. On lui refuse les feux de la rampe, il prendra ceux de l’arène. Il n’est pas espagnol et n’a pas de taureau ? Peu importe, son imagination fera le reste. Besoin d’une épée ? Un porte manteau suffira. Besoin d’une femme ? Il n’a que l’embarras du choix. Un régisseur ? Il se débrouille très bien tout seul. Envie de danser ? De boire un verre ? D’engueuler quelqu’un ? De rire, de pleurer ? Pour les confidences, il y a le public. “Ce spectacle a pris naissance au théâtre du Samovar dirigé par Franck Dinet dans le cadre de l’année de création. Durant un an, au Samovar mais aussi lors de résidences extérieures (festival Excentrique de la région Centre …), j’ai exploré différentes pistes, présentant une fois par mois des sorties de chantier, de laboratoires. En septembre 2012, une première forme de 20 minutes a été fixée. Prenant pour prétexte la corrida, le personnage Pépète B affronte un tabouret/taureau qu’il nomme Manolo, mais devant l’absurdité de la situation, il ne peut s’empêcher de se défendre lors d’apartés au public tout aussi absurdes. Rencontrant un accueil positif auprès du public, la forme est affinée puis étoffée sous les regards de Mathieu Milella, comédien, danseur et metteur en scène et d’Erwan David, comédien, clown et metteur en scène également pour arriver aujourd’hui à un spectacle de 45 minutes.” Kévin Pétureau, l’auteur “L’origine de la création du spectacle Pépète B se perd dans la nuit des temps, certains disent que c’est un produit des années 90, d’autre une des conséquences du bug de l’an 2000 et d’autres encore qu’il date de l’invention de la corrida. En ce qui me concerne, un jour un clown m’a dit « allons vivre des émotions, sur scène ou ailleurs et partageons-les avec le public, c’est ça que je veux faire». Voilà de quoi on est parti ensemble, lui le clown, le comédien, le cuisinier aussi et moi l’oeil extérieur, le public de toujours et surtout l’ami. On ne savait du tout dans quelle direction aller. On savait qu’on voulait rêver mais pas mentir, on voulait raconter mais écouter, on voulait partir à l’aventure mais sans tricher. Alors on a expérimenté tout ce qui nous parlait, ce qui nous touchait et bien sûr ce qui nous faisait rire. Assez vite, nous étions en Andalousie, à danser, à se battre, à manger bien sûr et à lire Beaumarchais.” Mathieu Milella, le metteur en scène |
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