“Oxygène” : le collectif O2 expose à l’Echomusée de la Goutte d’Or du 13 au 31 mars
Du 13 au 31 mars 2021, l’Echomusée de la Goutte d’Or présente l’exposition Oxygène du Collectif O2. Il regroupe six jeunes street artists parisiens : Gladpow, Exposito, LittleBrother.art, Mais oui tu es belle, Pply.art et Tegmo. La force de ce collectif repose sur la diversité des techniques et matériaux utilisés par chaque artiste : peinture, miroir, sérigraphie, photographie et collage.
L’exposition Oxygène où chacune de ces techniques est mise au service d’une réflexion autour du thème de la liberté. À cette occasion, le Collectif O2 a le plaisir de s’entourer de 15 autres invités surprises pour former une “bulle d’art” ouverte gratuitement au public.
Fresque sur le plafond de l’Echomusée par Gladpow
Gladpow s’inspire d’icônes et d’œuvres d’art célèbres qui l’ont marquée. Son concept ? Recouvrir les visages de cheveux, tout en faisant en sorte que les personnages restent reconnaissables : le spectateur devient ainsi acteur de l’œuvre en retrouvant son identité.
© Gladpow
Exposito propose un travail qui se base sur le multiculturalisme. Pour représenter cette idée, il utilise son visage comme motif principal d’où jaillit différentes couleurs et formes se combinant entre elles.
© Exposito
LittleBrother.art propose un jeu d’images intrigantes faisant partie d’un mystérieux discours. Chaque image peut se combiner avec d’autres. Il veut éveiller les consciences, s’opposer au conformisme et défendre l’identité singulière de toutes et tous.
© LittleBrother.art
Mais oui tu es belle propose un projet artistique impliquant hommes et femmes. Il souhaite laisser place au jugement du spectateur : l’expérience subjective est centrale. L’important n’est pas tant le miroir mais plutôt celui qui le regarde, celui qui se regarde.
© Mais oui tu es belle
Pply.art, par son art, souhaite faire évoluer l’image du CRS en faisant passer des messages. Par son travail, il souhaite essayer de montrer que derrière un bouclier, il y a aussi un Homme.
© Pply.art
Tegmo travaille avec le miroir. Il rompt avec sa planéité en proposant une surface en trois dimensions. Ainsi, il est difficile pour le spectateur de s’y regarder pleinement : il ne s’observe plus mais peut contempler le monde qui l’entoure.
© Tegmo
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose d’emprunté” en salle le 19 mars
Dans une banlieue populaire de Buenos Aires, les Felpeto ont créé une entreprise florissante de paris sportifs. Alors, à la mort du patriarche, la mère et la fille reprennent tout naturellement le business clandestin. Mais les temps changent pour...
“Every Dawn’s A Mountain” : le nouvel album de Tamino à paraitre le 21 mars chez Communion
Principalement écrit à New York, dans sa nouvelle ville, “Every Dawn’s A Mountain” marque un nouveau départ pour un artiste qui fait déjà la une des scènes de la plupart des pays d’Europe et du Moyen-Orient, allant même jusqu’à...
“La Belle au bois dormant” : la danse classique au firmament
“La Belle au bois dormant”, héroïne du conte de Perrault, se réveille aujourd’hui à l’Opéra Bastille dans la chorégraphie présentée il y a trente-cinq par Rudolf Noureev, d’après une création de Marius Petipa présentée au Théâtre de Saint-Petersbourg sur...
