Ojoloco : l’édition 2021 du festival de cinéma ibérique et latino-américain en ligne du 18 au 30 mai
La nouvelle édition du festival de cinéma ibérique et latino-américain Ojoloco se tient du mardi 18 mai au dimanche 30 mai 2021. Qui dit contexte inédit dit édition particulière : c’est pourquoi cette année, le festival est accessible en ligne depuis toute la France, directement sur le site Internet du festival.
Pendant plus de deux semaines, l’équipe du festival propose une programmation permettant la découverte de nouveaux horizons culturels et cinématographiques ibériques et latino-américains au travers de 3 compétitions : fiction, documentaire et courts-métrages.
En hors compétition est également proposé un cycle sur les réalisatrices espagnoles en partenariat avec l’Institut Cervantes et un programme de deux classiques du cinéma de patrimoine cubain.
“Au-delà de la tenue du festival, nous souhaitons permettre l’émergence de nouveaux talents et d’accompagner les films sur la durée : c’est pour cela que chaque compétition sera accompagnée d’un prix qui va dans ce sens. Par exemple, une proposition d’acquisition de distribution en salles par Platano Films ainsi qu’une résidence de 3 semaines à Lussas (en partenariat avec Ardèche Images) seront proposées au lauréat.e de la compétition documentaire.” détaille Alice Garcia du Festival Ojoloco.
Par ailleurs, dans le cadre de l’Université Populaire du festival, en partenariat avec France Amérique Latine, deux tables-rondes sont organisées à l’occasion de la publication du livre collectif Gouvernements progressistes en Amérique latine (1998-2018) : la fin d’un âge d’or aux Presses Universitaires de Rennes.
LA PROGRAMMATION 2021
Compétition fiction – 8 films
ÁNIMO JUVENTUD, Carlos Armella
CHACO, Diego Mondaca
ELLA ES CRISTINA, Gonzalo Maza
LINA DE LIMA, Maria Paz Gonzalez
LA SABIDURÍA, Eduardo Pinto
MAMÁ, MAMÁ, MAMÁ, Sol Berruezo Pichon-Rivière (ouverture)
OJOS NEGROS, Marta Lallana et Ivet Castelo
UM ANIMAL AMARELO, Felipe Bragança
Compétition documentaire – 6 films
APUNTES PARA UNA PELÍCULA DE ATRACOS, Leon Siminiani
CHACO, Daniele Incalcaterra et Fausta Quattrini
COMO EL CIELO DESPUÉS DE LLOVER, Mercedes Gaviria Jaramillo
EL AGENTE TOPO, Maite Alberdi (clôture)
ERASE UNA VEZ EN VENEZUELA, Anabel Rodriguez Rios
NEGRA, Medhin Tewolde Serrano
Compétition courts-métrages
Une sélection parmi lesquels :
A MAE DE SANGUE, Vier Nev
ANTÍLOPE, Diego Murillo
BOCA DE CULEBRA, Adriana Otero Puerto
LILO, Eric Marco
O CORDEIRO DE DEUS, David Pinheiro Vicente
Ciclo feminino – 3 films
LA FILLA D’ALGÚ, Collectif
TÓDALAS MULLERES QUE COÑEZO, Xiana do Teixeiro
YOUNG AND BEAUTIFUL, Marina Lameiro
Cinéma de patrimoine cubain – 2 films
GUANTANAMERA, Juan Carlos Tabio et Tomas Gutiérrez Alea
VAMPIROS EN LA HABANA, Juan Padron
Les films du festival seront disponibles à des prix accessibles, les pass seront mis à la vente dès ce vendredi 30 avril :
– Pass festival est à 8 € et donne accès à l’ensemble des films sur la durée du festival
– Les pass fictions ou documentaire sont à 5 € et donnent accès à l’ensemble des films de la compétition concernée
– Afin de rendre le festival ouvert à tout le monde certaines séances seront proposées gratuitement tout au long du festival.
Retrouvez toutes les informations du festival Ojoloco sur le compte Facebook
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Riding on a cloud” un récit émouvant à La Commune
A dix-sept ans, Yasser, le frère de Rabih Mroué, subit une blessure qui le contraint à réapprendre à parler. C’est lui qui nous fait face sur scène. Ce questionnement de la représentation et des limites entre fiction et documentaire...
“Des maquereaux pour la sirène” au théâtre La Croisée des Chemins
Victor l’a quittée. Ils vivaient une histoire d’amour fusionnelle depuis deux ans. Ce n’était pas toujours très beau, c’était parfois violent, mais elle était sûre d’une chose, il ne la quitterait jamais. Elle transformait chaque nouvelle marque qu’il infligeait...
La Croisée des Chemins dévoile le spectacle musical “Et les femmes poètes ?”
Raconter la vie d’une femme dans sa poésie propre, de l’enfance à l’âge adulte. En découvrir la trame, en dérouler le fil. Les mains féminines ont beaucoup tissé, brodé, cousu mais elles ont aussi écrit ! Alors, place à leurs...