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Mois de la Photo à Paris – Le Centquatre

15 octobre 2014
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Mois de la Photo à Paris

Du 5 novembre au 7 décembre 2014

Du mardi au vendredi de 12h à 19h et le week-end de 11h à 19h

Le Le Centquatre
5, rue Curial
75019 Paris
M° Riquet

www.104.fr

Du 5 novembre au 7 décembre 2014

Depuis le grand succès public et médiatique du festival Circulation(s), le Le Centquatre s’ouvre de plus en plus à la photographie. Pendant le Mois de la Photo à Paris, deux artistes Aitor Ortiz et Jean-François Spricigo seront à l’honneur.

Ils travaillent la photographie en noir et blanc. Leurs démarches sont éloignées l’une de l’autre et pourtant leur travail possède une force picturale de la même densité. L’un interroge le concept même de représentation, l’autre la part absente de l’image. Dans l’exposition Small Universe que nous proposons dans le même temps, Erik Kessels est invité à exposer neuf photographes Néerlandais, entre autres Milou Abel, Sema Bekiro Vic, Mélanie Bonajo. Et dès le printemps prochain, le festival Circulation(s) 2015 revient pour une nouvelle édition. La photographie prend place.

Aitor Ortiz, Intromisiones

Intromisiones est une exposition pensée comme une interprétation croisée, révélant les points de jonction et les recherches de l’artiste espagnol Aitor Ortiz. Les oeuvres présentées sont issues de différentes époques, parties intégrantes de séries ou encore étapes distinctes. C’est une quête d’une interprétation croisée, de contacts et
d’emprunts entre des oeuvres d’époques diverses. Plus que tout, cette exposition révèle les différents postulats et réflexions distinctes sur la représentation qui composent au fil du temps l’unité du travail si singulier du photographe.

Jean-François Spricigo, toujours l’aurore

Le photographe Jean-François Spricigo traque l’horizon autant qu’il le peut, aime inconditionnellement la nature, les animaux, et apprend pas à pas à accepter l’inconstance de l’espèce à laquelle il appartient: « Je photographie comme l’oiseau bat des ailes, pour ne pas tomber ». Son exposition toujours l’aurore se déploiera selon plusieurs propositions, kaléidoscope d’un même regard, pour rendre compte de la dimension fragmentaire de tout élan créatif. Cette esthétique est un choix d’honnêteté, l’aveu d’un dénuement face au réel à n’être que soi, et néanmoins de vivre tout entier ce réel à travers soi : «Il n’a jamais été question de capturer ou de figer le monde, poursuit-il. Au contraire, c’est la palpitation d’un instant qui m’interpelle. Floue ou non, la ‹netteté› de l’image est principalement liée à l’intégrité de son processus.»

[Photo : Jean-François Spricigo]

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