Maurice Renoma habille le Sacré
Une fusion entre ce lieu de la nuit parisienne et l’univers mode et arty de Maurice Renoma naît un véritable événement. Deux mondes qui se télescopent pour créer un rendez-vous culturel ouvert à tous.
Avec ses murs d’un blanc immaculé, un style épuré et le choix de matériaux bruts (béton, métal…), le Sacré a cette allure de loft new-yorkais, celle qu’a aussi le Renoma Café Gallery, restaurant galerie conceptuel créé par le couturier, photographe et scénographe Maurice Renoma au début des années 2000. En habillant le Sacré 20 ans après avoir exposé dans les clubs les plus branchés de la capitale (Les Bains, le Queen, le Man Ray …) le styliste qui a fait exploser les codes vestimentaires dès les années 1960 insuffle au bar club et disco bar son ADN créatif et décalé, et signe un nouveau concept de club gallery, un lieu avec une identité forte et unique.
Les photographies sensuelles, fashion et ludiques issues des thèmes les plus emblématiques de Maurice Renoma, les projections vidéos, les papiers peints et les silhouettes mi-hommes mi-bêtes tout droit sortis de son bestiaire fabuleux investissent le Sacré, de la porte d’entrée à la salle de concert en passant par le disco bar et le fumoir.
Maurice Renoma ; MODOGRAPHE
Il fallait inventer un mot pour définir l’homme passionné et débordant d’idées qu’est ce couturier, designer, photographe et scénographe.
Après avoir révolutionné la mode, Maurice Renoma commence à s’intéresser à la photographie. Il s’invente le néologisme «Modographe» pour définir les liens essentiels qui unissent la mode et la photographie. Ses rencontres l’emmènent par la suite à collaborer avec d’autres artistes puis à recréer des espaces à son image ou à travers son prisme.
Aujourd’hui, il investit Sacré.
Sacré ; “PAS QU’UN CLUB, UN DISCOBAR”
Telle est la devise de ce nouvel établissement de nuit parisien. Anciennement Triptyque, Social Club puis Salo, le 142 rue Montmartre était déjà marqué par sa renommée auprès des clubbeurs connaisseurs. Ouvert depuis Février 2019, les nouveaux patrons associés (anciens du Badaboum) on décidé de totalement revisiter ce lieu à l’architecture atypique.
2 salles : 2 ambiances. C’est le pari audacieux qu’Anthony Rousselle et Martin Munier se sont lancé pour la rénovation de ce club. Ici, après avoir descendu les escaliers, longé le couloir blanc et croisé trois statues grecques, vous pouvez prendre l’apéro en sortant du boulot dès 18h dans ce 1er espace au décor à la fois disco et industriel : le Discobar.
Il vous suffira ensuite de traverser le sas accolé au fumoir pour venir chauffer le dancefloor dans l’espace club avec sa scène surélevée qui acceuille (entre autres!) les meilleurs DJ de la scène parisienne.
[Source : communiqué de presse]
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