Ma chanson de Roland – Les Déchargeurs
Elle se nomme Ariane, comme l’a souhaité son père.
Quand il devint obligatoire qu’elle aille à l’école, son père l’a mise en pension chez ses grand-mères. L’une était pauvre, athée, communiste et très stricte, l’autre catholique, gaulliste, complètement foutraque et libertaire. Un avantage considérable pour son avenir. Un spectacle qui rit non pour fuir la réalité, mais pour célébrer le rire lui-même.
LE MOT DU METTEUR EN SCÈNE Michel Bruzat – notes pour « Chercher » un chemin avec Ariane ;
Ariane,Tu as collé ton oreille à la bouche de ton père qui fut aussi ta mère…
Sa présence est partout… partout on entend sa voix…
Alors nous allons lui dire « je te quitte et je ne t’oublie pas »
La vérité sans compromis a toujours des bords déchiquetés…
Tu es incandescente, tu as l’intelligence de l’âme,
Alors n’esquivons pas cette blessure.
De guingois nous sommes comme est la vie,
Analphabètes du sentiment, infirmes de l’amour.
[Source : communiqué de presse]
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