Exposition des finalistes du FID PRIZE 2014 – Galerie Catherine Putman
Les finalistes du Camille Benarab-Lopez Hajime Yamada Du 20 juin au 19 juillet 2014 Galerie Catherine Putman |
La galerie Catherine Putman présente pour la troisième année consécutive, les travaux des finalistes du FID PRIZE 2014 (Prix international du dessin dédié aux jeunes artistes).
Destiné aux jeunes artistes et aux écoles d’art, le FID PRIZE a pour but de promouvoir le dessin contemporain et faire découvrir de jeunes talents. Sélectionnés par un jury professionnel, parmi plus de 300 candidats venant de 30 pays, Camille Benarab-Lopez, Tsama Do Paço et Kazuki Nakahara sont les finalistes du FID PRIZE 2014 et exposeront leurs travaux les plus récents avec Hajime Yamada (mention spéciale du jury). D’horizons et de cultures différentes ces quatre artistes nous feront part de leur pratique singulière du dessin. Camille Benarab-Lopez Diplômée de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs, elle s’intéresse à la lumière, sa perception, sa théorie et sa symbolique. « Mes dessins sont comme des analyses fictives de la lumière, entre astronomie imaginaire et des cription de phénomènes réels ou non avérés. J’essaie d’appliquer à l’image une méthode d’exactitude mais qui n’en est pas moins un moyen de célébrer le visible. » Tsama Do Paço Diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, ses dessins sont tout d’abord des dessins de plis et un jeu de superposition. Elle pose une feuille de carbone sur un origami et la recouvre d’une photo d’actualité, extraite d’un journal, sur laquelle elle dessine, hachure et grave. « Choisir de graver par la hachure les images de notre monde, c’est vouloir les inscrire dans ma mémoire et par là les transformer ». Le résultat de sa pratique donne une image fragmentée, brouillée « traçant une carte de mémoire ». Kazuki Nakahara Diplômé de « The Berlin Weissensee School of Art » Kazuki Nakahara s’intéresse avant tout à la ligne. Son intérêt pour le dessin est né des apprentissages reçus de son père, calligraphe professionnel au Japon. C’est en apprenant les règles strictes de l’écriture et de l’expression des différentes formes des caractères japonais qu’il s’est intéressé à la pratique du dessin pour elle même. Il travaille la ligne au crayon de couleurs et essaie de la répéter, sans cesse, avec la même qualité. Il travaille les formes géométriques simples et s’amuse avec l’agencement des motifs tout en cherchant à exprimer un rythme sur le papier. Hajime Yamada ((mention spéciale du jury) Il vit et travaille au Japon. De façon minutieuse, cet autodidacte trace des |
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