Les bêtes de scène de Bigger en concert à la Maroquinerie
Avec Les Myosotis, leur premier album, Bigger s’est construit un temple, un antre à l’architecture étrange et imposante.
On pourrait presque croire à de l’art brut. Quand on y pénètre c’est foisonnant, baroque. Il y a une foule de détails à observer. Il y a de grosses vagues bruyantes, des couloirs à traverser, des montagnes à gravir, des fantômes et des freaks. Il y a de grandes fresques, des statuettes, du Beau, du lugubre. En tout cas quelque chose est bâti, là.
Sur scène l’énergie est là, débridée. Le groupe s’amuse à alterner les moments d’accalmie avec de soudains rugissements sonores. En véritable preacher man Kevin Twomey harangue l’audience, la malmène parfois. Tout le monde chante, les chœurs sont puissants. Cherchant le feu derrière chaque note Bigger veut emmener son public avec lui, partager les mots, les émotions intenses injectés dans le huis clos du Castle Studio. La scène c’est le moment de libérer tout ça, de se livrer sans compter.
Nous vous donnons rdv pour un Live intense, tant attendu !
Steve Amber en première partie
Steve Amber navigue entre rock intemporel, pop synthétique et expérimentations sonores. Le quatuor parisien, originaire de Brest, cultive un amour des mélodies et une écriture ambitieuse qui les placent dans la droite lignée de Tame Impala, Radiohead, Wand ou Sonic Youth.
[Source communiqué de presse]
Articles liés
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...
“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman, Sanson,...
La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point
Le chorégraphe Olivier Dubois répond une nouvelle fois à l’appel du Sacre. Après l’opus conçu pour Germaine Acogny en 2014, il poursuit, avec For Gods Only, sa collection de Sacre(s) du printemps qu’il confie cette fois-ci à la danseuse...