Le mannequin ou comment séduire un homme – Une comédie de Simone Berno
Deux femmes et un mannequin inanimé qui devient l’objet de toutes leurs projections masculines. Un cours de séduction en 10 étapes qui tourne au délire. Une farce satyre des femmes et de leurs idées saugrenues sur les hommes.
Le mot de Simone Berno, metteur en scène
Derrière la tentative absurde de deux femmes de séduire un mannequin masculin inanimé se cache leurs recherches personnelles. Avec des mots très quotidiens, elles expriment leur questionnement sur comment se sentir aimée et comment être certaine de ses capacités. Elles posent ces questions à l’autre, comme une demande et évidemment ce mannequin ne leur répondra pas. Alors où et comment vont-elles trouver les réponses à ces questions là, qui sont des thèmes humains par excellence. C’est l’enjeu de la pièce. Partant du banal, on trouve la subtilité qui permet aux personnages d’avancer dans leur logique, de plus en plus délirante, en quête d’elle-même. Le tout est traité avec humour et légèreté, ponctué de musiques, de danses et d’une pointe d’érotisme.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Riding on a cloud” un récit émouvant à La Commune
A dix-sept ans, Yasser, le frère de Rabih Mroué, subit une blessure qui le contraint à réapprendre à parler. C’est lui qui nous fait face sur scène. Ce questionnement de la représentation et des limites entre fiction et documentaire...
“Des maquereaux pour la sirène” au théâtre La Croisée des Chemins
Victor l’a quittée. Ils vivaient une histoire d’amour fusionnelle depuis deux ans. Ce n’était pas toujours très beau, c’était parfois violent, mais elle était sûre d’une chose, il ne la quitterait jamais. Elle transformait chaque nouvelle marque qu’il infligeait...
La Croisée des Chemins dévoile le spectacle musical “Et les femmes poètes ?”
Raconter la vie d’une femme dans sa poésie propre, de l’enfance à l’âge adulte. En découvrir la trame, en dérouler le fil. Les mains féminines ont beaucoup tissé, brodé, cousu mais elles ont aussi écrit ! Alors, place à leurs...