“Le malade imaginaire ou le silence de Molière” d’Arthur Nauzyciel dès le 24 avril 2024 à la Villette
Près d’un quart de siècle après sa création, Arthur Nauzyciel reprend son audacieuse première mise en scène, où dialoguent la comédie de Molière et le témoignage imaginaire de sa fille unique. Les échos de ce mélange entre réel et fiction se prolongent aujourd’hui à la faveur d’une distribution repensée.
En 1999, Arthur Nauzyciel revisitait l’ultime comédie de Molière à la lumière fantomatique d’un texte écrit en 1975 par l’historien Giovanni Macchia, une interview imaginaire d’Esprit-Madeleine Poquelin. La fille unique de Molière y dévoile pourquoi elle récuse sa famille, son père et son nom. Ainsi enchâssée dans Le Malade imaginaire, sa parole sème le trouble. En revenant à cette création, le metteur en scène réaffirme sa conviction que vie et mort s’entrelacent, que le passé nourrit le présent et que l’art peut nous réparer. Lui qui jouait Diafoirus fils interprète cette fois Diafoirus père. À ses côtés : Catherine Vuillez et Laurent Poitrenaux, présents à l’origine, et sept jeunes interprètes issus de l’école du Théâtre National de Bretagne. À l’épaisseur du jeu d’échos proposé par la pièce, Arthur Nauzyciel ajoute l’expérience du temps passé et du chemin parcouru. Et la possibilité d’un passage de relais à une autre génération.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
MINIATURE : l’expo événement pour les 10 ans de la Galerie Artistik Rezo
La galerie Artistik Rezo et FIGURE s’associent pour présenter la troisième édition de l’exposition MINIATURE : un événement unique en son genre à l’occasion des 10 ans de la galerie. Cette édition réunit plus de 80 artistes français et...
Justice livre un show explosif et festif à l’Accor Arena de Paris Bercy
Ce mardi 17 novembre 2024, après une première partie orchestrée par Pedro Winter, boss du label Ed Banger, Justice a électrisé une salle pleine à craquer, première date des deux soirées prévues à Paris, chez eux, à domicile. La...
Marion Mezadorian pète les plombs au Théâtre Victor Hugo
Avec son précédent “one woman show”, Pépites, Marion Mezadorian a défrayé la chronique. Dans la même veine, celle d’une performance scénique où l’humour le dispute à l’émotion, cette nouvelle création donne la parole à celles et ceux qui craquent...