Le journal d’un fou – théâtre de la reine blanche
Le journal d’un fou au théâtre de la Reine Blanche De Nicolas Gogol Nouvelle traduction et adaptation de Mark Antoine et Andrew Visnevski Mise en scène de Marcus Bazley Avec Mark Antoine aux percussions Du 17 mars au 18 avril 2015 Tarifs : de 15€ à 20€ Réservation en ligne Durée : 1h10 Théâtre de la Reine Blanche |
Du 17 mars au 18 avril 2015
Saint-Pétersbourg. La Russie est aux mains d’un autocrate. Aksenty Ivanovitch Poprichtchine est une sorte de photocopieur humain: il passe ses journées à recopier des documents page après page. Au dessus de lui s’élève la plus terrifiante et folle hiérarchie de l’histoire de l’humanité. La comédie de Gogol est basée sur de nombreux articles publiés dans le journal Pétersbourgeois L’Abeille du Nord à propos de prisonniers d’asiles Russes. L’incroyable majorité des prisonniers internés en asiles étaient des fonctionnaires qui souffraient soit d’une fierté surdimensionnée ou d’une timidité très handicapante. En fait un des articles était centré sur un interné Russe qui avait ajouté la phrase “Roi de France et de Navarre” sur son passeport. [source du texte et crédit visuel : communiqué de presse] |
Articles liés
“Silence, Moteur, Action” chez Madame Arthur
Bienvenue chez Madame Arthur, Cabaret Musical Drag ouvert depuis 1946, au cœur de Pigalle et au pied de la butte Montmartre. Entrez dès maintenant dans notre univers décadent, mêlant musique live et spectacle piquant ! Mais oui, on sait...
Mina Kavani raconte son histoire dans “I’m deranged” à l’Athénée
Parce qu’elle rêvait d’un théâtre et d’un cinéma loin de la dictature et de la censure, Mina Kavani a dû quitter son pays, l’Iran, et comme toute une génération d’artistes, elle a rêvé d’ailleurs. I’m deranged raconte la douleur et...
Kevin Debonne présente son spectacle “Psychanalyse” sur la scène du théâtre Le Métropole
La fin des paillettes… Travailler sur soi pour rendre l’inconscient conscient et s’aimer soi-même pour pouvoir aimer les autres. Après on ne va pas se mentir c’est aussi parce qu’il me fallait un titre les reufs ! L’humoriste Kevin...