Le Grandiloquent Moustache Poésie Club – Les Trois Baudets

Dans un spectacle percutant à la croisée du slam, de l’humour et du café théâtre, ils retracent avec dérision leur parcours dans un univers complètement décalé, inspiré des Monty Python, de Gainsbourg, Baudelaire ou encore Brassens. Pour eux, le texte compte autant que l’interprétation. Ce n’est pas uniquement du slam.

Influencés de tout et de rien, par des paroliers, des artistes, la vie quotidienne ou encore des moustachus, ils embarquent les spectateurs dans leurs aventures dès les premières rimes.

Talentueux, ils savent manier la langue de Molière à la perfection tout en surfant sur une autodérision permanente. La Moustache, ils la portent d’ailleurs comme celle que Marcel Duchamp avait faite à la Joconde, avec une pointe d’ironie.

Après leur passage remarqué au Théâtre du Rond-Point en décembre 2010, Le Grandiloquent Moustache Poésie Club a séduit le public du Festival d’Avignon 2011, mais aussi les enfants avec leur nouvelle création : Le Petiloquent Moustache Poésie Club

Le Grandiloquent Moustache Poésie Club

• 18 novembre : PORTE SUR GARONNE (31)
• 19 novembre : MATIGNON (22)
• 25 novembre : POISSY (78)
• 9 décembre : SAINT-MANDÉ (94) – Médiathèque
• 17 décembre : MORANGIS (91)
• 12 & 13 janvier : PARIS 18ème – Les Trois Baudets
• 14 janvier : ANGERS / BEAUCOUZE – Théâtre
• 19 & 20 janvier : PARIS 18ème – Les Trois Baudets
• 21 janvier : RENNES (35) – Festival Les Coquecigrues
• 26 & 27 janvier : PARIS 18ème – Les Trois Baudets
• 2 & 3 février : PARIS 18ème – Les Trois Baudets
• 17 février : LE HAVRE/SAINTE ADRESSE (76) – Théâtre
• 25 février : St PIERRE D’ENTREMONT (73) – Festival Zygomatic
• 14 et 15 mars : LILLE (59) – Le Biplan
• 16 & 17 mars : TOURCOING (59) – C. Européen des Arts Détonants
• 18 mars : LILLE (59) – Le Biplan
• 30 mars : VIENNE (38) – Festival D’Humour
• 3 avril : PONTAULT COMBAULT (77) – Les Passerelles
• 6 avril : VERGÈZE (30) – Théâtre

Les Trois Baudets
64, bd de Clichy 
75018 Paris

www.lestroisbaudets.com

[Visuel : crédit Julie Chaize]