Le fil rouge au Théâtre La Croisée des Chemins
Seule en scène, elle passe d’une correspondance avec sa mère lorsqu’elle était malade, au récit de souvenirs d’enfance.
Ces souvenirs viennent apaiser et éclairer afin de rendre l’absence moins douloureuse. “J’ai toujours un petit caillou au fond de mon sac, dans mon porte monnaie, dans ma voiture… Je n’en fais rien, ils sont juste là.”
Un texte qui a comme centre une correspondance, un échange via un carnet avec sa mère lorsqu’elle était malade. Les souvenirs d’enfance et ses réfexions d’adulte sont venus se lover autour de cet échange afin de le rendre moins douloureux. Ils viennent apaiser et éclairer sans recouvrir. Ils viennent comme des pansements pour rendre l’absence moins douloureuse. De part sa thématique, ce seul-en-scène, mêlant dessin et récit, devient un lieu où chacun peut se retrouver. Il y est question du rapport à l’enfance, avec ses sensations lorsque les mots ne peuvent pas encore être dits. Il est question du corps et de la maladie mais aussi d’amour et de transmission.
[Source : communiqué de presse]
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