Le fil rouge au Théâtre La Croisée des Chemins
Seule en scène, elle passe d’une correspondance avec sa mère lorsqu’elle était malade, au récit de souvenirs d’enfance.
Ces souvenirs viennent apaiser et éclairer afin de rendre l’absence moins douloureuse. “J’ai toujours un petit caillou au fond de mon sac, dans mon porte monnaie, dans ma voiture… Je n’en fais rien, ils sont juste là.”
Un texte qui a comme centre une correspondance, un échange via un carnet avec sa mère lorsqu’elle était malade. Les souvenirs d’enfance et ses réfexions d’adulte sont venus se lover autour de cet échange afin de le rendre moins douloureux. Ils viennent apaiser et éclairer sans recouvrir. Ils viennent comme des pansements pour rendre l’absence moins douloureuse. De part sa thématique, ce seul-en-scène, mêlant dessin et récit, devient un lieu où chacun peut se retrouver. Il y est question du rapport à l’enfance, avec ses sensations lorsque les mots ne peuvent pas encore être dits. Il est question du corps et de la maladie mais aussi d’amour et de transmission.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés

Madame Arthur tourne autour de Tina Turner du 10 au 13 avril !
Bienvenue chez Madame Arthur, cabaret travesti ouvert depuis 1946, au cœur de Pigalle et au pied de la butte Montmartre. Entrez dès maintenant dans notre univers décadent, mêlant musique live et spectacle piquant ! Parce qu’on n’a jamais peur...

“L’Île des Rêves”, la nouvelle comédie musicale à voir en avril au 13e art
Au fil de ses rêves lucides, William Arribart se laisse emporter dans un univers imaginaire et merveilleux. Chaque nuit, il y trouve refuge, fuyant un monde réel où il ne se sent pas à sa place. Il s’invente alors...

“Lopakhine danse à Paris” sur la scène de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet
Lopakhine danse à… Laval, Saint-Denis, Vire, Granville, Carro, Paris… est un solo mis en scène par Liza Machover pour un comédien danseur : Julien Moreau. Il y est question d’émancipation, de famille, de rencontre avec l’art, de breakdance, de...