La fresque “Le Voyage du Dragon” de Gwendoline Finaz : une œuvre d’art offerte à chaque visiteur le 7 juin
La fresque “Le Voyage du Dragon” de Gwendoline Finaz, exposée depuis le 1er juin place du Panthéon à Paris, va être découpée en morceaux. Signés par l’artiste, ils seront distribués aux riverains et amateurs le 7 juin après-midi.
Cette œuvre monumentale exposée depuis le 1er juin a révélé la singularité de l’artiste Gwendoline Finaz de Villaine et ses inspirations orientales, par le biais de la technique de l’encre caviar. Sa volonté première était d’exprimer son amitié sincère envers la Chine qui entretient de fortes relations avec la France depuis près de 60 ans.
Dans une démarche similaire, l’artiste avait à cœur de partager son art avec les habitants du quartier, les amateurs d’art et les curieux. L’exposition à ciel ouvert de cette toile était un premier pas vers cet aspect participatif, Gwendoline a pourtant souhaité aller plus loin en offrant des morceaux de sa toile aux passants présents mercredi 7 juin après-midi. Une jolie manière de rendre l’art accessible à tous.
Cette métamorphose de la fresque n’est que la première d’une longue liste puisqu’elle sera ainsi reproduite et exposée sur la Grande Muraille de Chine au printemps 2024 après une présentation dans quatre musées chinois qui proposeront une exploration 3D et une immersion dans le métaverse.
Soutenu par des institutions nationales telles que le Panthéon et la Mairie du Ve arrondissement ainsi que par des entrepreneurs français et chinois travaillant dans la mode, l’art et le luxe, ce projet constitue un lien culturel fort à l’heure de la commémoration du 60e anniversaire des relations franco-chinoises.
À propos de Gwendoline Finaz de Villaine
Artiste aux talents pluriels, à la fois danseuse, chanteuse et écrivaine, depuis trois ans Gwendoline Finaz de Villaine se consacre pleinement à la peinture à travers des projets hors normes. Ces deux dernières années, Gwendoline a déployé des fresques monumentales, Joséphine Baker, Les Ailes, Hold On !, son œuvre hommage aux étudiants sur la façade de l’Université de Jussieu, ou encore son graphisme lyrique sur les cuves des Carmes Haut-Brion à Bordeaux.
Ancienne meneuse de revue aux Folies Bergère, interprète de comédies musicales, elle a également publié 4 romans.
Une expérience que sa peinture synthétise, à mi-chemin entre la calligraphie et le graffiti. Influencée par le Cubisme et le Surréalisme, notamment Man Ray, Gwendoline est passionnée par les années 20 et fait converser l’Orient et l’Occident avec des clins d’œil appuyés au Japon et à la Chine. Elle est représentée par la Ellia Art Gallery à Paris.
[Source : communiqué de presse]
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