La fête du graphisme 2016
La fête du graphisme 2016 Du 6 janvier au 16 février 2016 Tarifs : de 5,99€ à 8,99€ Réservation en ligne Divers lieux à Paris |
Du 6 janvier au 16 février 2016 Depuis sa création, la Fête du graphisme a souhaité faire de Paris l’une des capitales internationales du graphisme dans le monde. En deux éditions, des centaines de graphistes internationaux ont adhéré au projet en soulignant l’importance de présenter leurs créations à Paris. Le grand public est venu en nombre admirer les créations les plus diverses sur plus de 1.600 faces d’abribus JCDecaux dans toute la ville, sur les Champs-Élysées, dans les lieux d’expositions (25.000 visiteurs par an), lors de projections ou de débats. Les plus grands graphistes sont venus du monde entier pour rencontrer le public ou faire travailler près de 350 étudiants lors d’une semaine de workshops. À la manière de grandes capitales mondiales comme Londres, New York ou Tokyo, Paris s’est imposée, à l’occasion de la Fête du graphisme, comme une nouvelle plate-forme de rayonnement de la discipline artistique en France. Forte du succès de ses deux premières éditions qui se sont déroulées en janvier et février 2014 et 2015, la Fête du graphisme 2016 se déroulera à nouveau cette année en janvier et février, dans de grands lieux culturels parisiens et dans toute la ville.
Utopies et réalités #2 : les intrépides – Cité internationale des arts
Faisant suite à la présentation des œuvres de Kazumasa Nagai et d’Henning Wagenbreth dans le cadre d’Utopies et réalités #1, cette exposition souhaite mettre en lumière le travail de cinq graphistes ou ateliers de graphisme exceptionnels. Il s’agit du Russe Peter Bankov, du Français Xavier Barral, du Polonais Jan Bajtlik, des Allemands de Cyan et des Néerlandais du Studio Boot. Exceptionnels, ils le sont à plusieurs titres. Mais ils le sont, sans doute, surtout, par leur capacité remarquable à transposer leurs rêves dans la réalité. A incarner, aux yeux des autres, une utopie possible. Celle de pratiquer un travail de commande – celui de graphiste –, aux exigences et aux règles particulières, dans un esprit de liberté et de créativité sans limites. Par leur ouverture au monde et leur curiosité pour les autres, ils ont su à la fois bousculer les codes et transformer la commande initiale. En respectant le client, en attirant l’attention du public, ils ont néanmoins su affirmer de belle manière leur profonde singularité artistique. Intrépides, ils le sont par une quête permanente de renouvellement esthétique, par leur refus de concession aux tendances du moment, mais aussi par leur intégrité intellectuelle et artistique. Ces graphistes font ainsi, à travers la diversité de leurs travaux, que ce soient des commandes ou des initiatives personnelles, une démonstration aussi déterminante que réjouissante : de la contrainte naît souvent la liberté.
[source du texte et crédit visuel : communiqué de presse] |
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