ICART présente « Night Mess »
ICART présente « Night Mess » Le vendredi 2 juin 2017 de 19h à 1h Entrée libre ICART – Bordeaux FB – NightMess |
Le vendredi 2 juin 2017 de 19h à 1h
La classe de deuxième année de l’ICART Bordeaux investit ses locaux, le temps d’une soirée, en proposant un événement pluridisciplinaire, qui mêle expositions, musique et arts numériques. Gratuit et ouvert à tous, NIGHT MESS permet de réunir des visiteurs aux horizons différents, créant ainsi un dialogue intergénérationnel et interculturel. Le but principal est de permettre aux gens de découvrir diverses pratiques artistiques, tout en bouleversant leur perception des locaux d’une école. Ce projet s’articule autour d’artistes locaux et nationaux qui se réapproprient le lieu, chacun à leur manière.LE LIEU L’ICART Bordeaux se situe 8, parvis des Chartrons, et est idéalement desservi par le tram. Sa proximité avec les quais rend le lieu tout à fait adéquat pour accueillir le public. LES ARTISTES NIGHT MESS est une rencontre à la fois musicale et artistique où Djs, peintres, photographes et graphistes investiront l’école de manière éphémère pour proposer un évènement unique. Dix artistes au total ont été sollicité, locaux mais aussi en provenance d’autres villes de France ou du monde. Tous sont des professionnels ou amateurs passionnés, connus ou en devenir. DJ’S SET ENTSCHULDIGUNG (aka THE SUPERMEN LOVERS) Entschuldigung est un projet collaboratif de deux talents de la scène électro pop mondiale : après un premier EP éponyme, le duo revient à la demande générale avec Gina, leur deuxième EP, toujours truffé de TR808 et déjà salué par la cri- tique. Inspiré par l’art contemporain et les femmes, le duo délivre une musique où le groove soutient le délire arty. Entschuldigung, c’est Guillaume Atlan et Stéphane Bejean Lebenson, un projet qui trouve deux musiciens à la sonorité électro pop. Ils ont des antécédents dans la French touch, le disco et l’indépendant. Ils fusionnent désormais tous les deux pour un nouvel électro de pointure, d’avant-garde et adroit. ENTSCHULDIGUNG sur soundcloud MOODY WITH US Moody With Us est un collectif de Djs, attaché aux traditions soul, disco et funk, le tout enveloppé de musique électronique (house et techno), en cherchant à garder un lien permanent avec la nouveauté et l’innovation. En restant ouvert aux in uences extérieures et en rendant hommage aux musiques contemporaines des clubs, ils cherchent à contribuer à son développement, à offrir une plateforme aux artistes émergeants ainsi qu’au public intéressé. Ils organisent des évènements dans des lieux attirants tels que des espaces ouverts ou des « boat parties » ; et proposent de nouveaux podcasts régulièrement. Notons également qu’ils sont actuellement rési- dents le dimanche à l’Endroit, à la Rochelle et qu’ils sont investis dans le projet très excitant qu’est le festival Roscella Bay, à la Rochelle. MOODY WITH US sur soundcloud BLUMM (Soul – Disco – House) sur soundcloud JAZZADEEP (Groove – Soul – House – Techno) sur soundcloud DANDAAK (Rare Groove – Funk – House – HipHop) sur soundcloud Paul Abes (House – Disco – Soul – HipHop) EXPOSITION LILY CAZILHAC Lorsqu’elle peint, elle aime ne partir de rien, se laisser porter pas ses émotions sans savoir à l’avance ce qu’elle va faire. La plupart de ses dessins sont très instinctifs et spontanés. C’est en se plongeant totalement dans l’imprévu de la création qu’elle trouve des idées. Il en ressort souvent des visages déstructurés, des personnages dont les expressions re ètent mes états et inspirations du moment. Elle observe beau- coup les gens et il y a dans chaque visage une façade mystérieuse qui énormément d’histoires. C’est cela qu’elle tente de retranscrire à travers des portraits imaginaires, que ce soit à la gouache, l’acrylique, l’aquarelle ou aux pastels. Plus que la technique ou le dessin en lui- même, elle pense que ce sont les couleurs qui structurent ses peintures et racontent des histoires. A partir de là, le spectateur reste libre de com- prendre quelle histoire elle a voulu raconter. GEOFFREY MONTAGU Photographe normand de vingt-quatre ans, Geoffrey s’est lancé dans la photo il y a maintenant huit ans. Tout a commencé en photographiant ses amis et leurs aventures, il pose alors son regard sur le monde et réalise portraits, paysages, nus et reportages. Aujourd’hui il continu avec la même passion et en pro te pour créer des séries plus travaillés. Il utilise alors des lumières plus sophistiquées pour ses photos ; la lumière devient une matière dont il se sert pour révéler l’invisible et modeler l’espace. Les corps, la nudité, la perception des autres et de soi-même, sont les grandes thématiques de son travail. ULRICH Oswald Wittower, 26 ans, résidant au Kirghizistan. « Je n’ai rien à justi er, ni à ex-pliquer sinon qu’à travers l’abstraction – ou l’idée que je ? on ? se la figure et justement sa défiguration, je cherche à donner une image au(x) monde(s) tel(s) que je le(s) vois, les ressens et les saisis. Un bloc immense et intangible d’infinis divisibles, fait d’ombres, et donc de lumières, de couleurs criardes et d’évocations sourdes. Il y a, je crois, la symétrie de l’idée avant d’avoir la symétrie de l’image, qui s’approche et s’éloigne sans cesse comme un re et dans un miroir. » LAUREN SIE Etudiante en deuxième année option art à l’Institut Supérieure des Arts de Toulouse, elle s’intéresse dans son travail guratif pictural et numérique aux questions psychologiques et philosophiques du rapport au monde et à soi- même. A travers ses re-présentations elle met en scène des visages qui vacillent entre ceux de ses proches et celui de l’autoportrait. Son traitement lissé de la peinture souhaite soumettre des idées de perfection, dʼartifice, de vanité, dʼimmortalité et de fantasmagorie en relation aux nouvelles technologies. En utilisant lʼusure, la réappropriation et la transformation de l’image, elle la fait évoluer en la déclinant sous différents médiums. Dans son processus de création elle cherche à questionner lʼesthétique du portrait et à transmettre son intérêt face à une multitude de problématiques qui en découlent tel que la sensibilité, les expériences, la dualité, la gémellité, lʼalter-ego, le miroir, la symétrie, les palindromes, les oppositions, les dimensions, lʼespace, le temps, lʼintérieur, lʼextérieur, lʼesprit, le corps, la raison, la folie, la télépathie, le spirituel, le divin, la vie, la mort, lʼin ni, le vortex, le réel, le matériel, lʼimmatériel, lʼimaginaire, le virtuel, le religieux, le mythe… SAID DOKINS Saïd Dokins est un artiste qui vit et travaille à Mexico. Il utilise la calligraphie et les graffitis pour transmettre un message symbolique et politique. Dans ce pays, ses projets artistiques et urbains illustrent la vie sociétale des mexicains. En 2015, Saïd Dokins a été lauréat du Prix des Créations de l’Art Contemporain à Cadix en Espagne. A l’heure actuelle, il est reconnu au niveau national et international et expose dans de nombreux pays dans le monde entier : en Allemagne, en Hollande, en Belgique, au Royaume-Uni, en Argentine, au Chili, au Brésil, etc. L’artiste a su s’inspirer à la fois de l’économie de la calligraphie médiévale et de l’énergie et l’expressivité de l’écriture japonaise. En outre, Saïd Dokins crée une véritable poétique : chaque expérience humaine laisse une trace, une empreinte psychique qui marque notre univers symbolique. La calligraphie ou les graf tis ne sont plus seulement de l’encre sur du papier, mais habitent et illustrent les événements de notre existence. ART NUMERIQUE ET PROJECTION ULYSSE FEIGNE Etudiant aux Beaux arts de Pau, passionné par le skate et les cultures alternatives, il s’est intéressé au graff et à la peinture de lettrage avant les études. Depuis, il aborde essentiellement l’image par le prisme de l’internet comme espace de création et de ré exion universelle. Il utilise l’image sous ses différents aspects numériques via la corruption de données (glitch) et l’altération par la compression. Il pose sa réflexion sur les comportements visibles via les réseaux sociaux et notamment sur l’esthétique né de la dualité du monde réel et du monde virtuel. MIKAEL VOJINOVIC Mikael Vojinovic, 42 ans, artiste photographe depuis plus de 25 ans, exprime son talent à travers ses passions dévorantes pour la mode et les femmes. De Paris à New-York, en passant par Lyon, Montréal, et aujourd’hui Bordeaux, il évoluera au l du temps parmi certains grands de ce monde. Sans cesse à la recherche de nouvelles sensations visuelles, c’est dans une volonté de magnifier la femme et son corps qu’il va produire ses différents travaux. Ici, c’est dans un érotisme subjectif d’ombre et de lumière qu’il va s’exprimer. Cette série originale de nus en light painting laisse libre cours à l’interprétation du féminin et sa nudité. [Sources : © communiqué de presse] |
Articles liés
“Tant pis c’est moi” à La Scala
Une vie dessinée par un secret de famille Écrire un récit théâtral relatant l’histoire d’un homme, ce n’est pas seulement organiser les faits et anecdotes qu’il vous transmet en une dramaturgie efficace, c’est aussi faire remonter à la surface...
“Un siècle, vie et mort de Galia Libertad” à découvrir au Théâtre de la Tempête
C’est Galia Libertad – leur amie, leur mère, leur grand-mère, leur amante – qui les a réunis pour leur faire ses adieux. Ce petit groupe d’amis et de proches, trois générations traversées par un siècle de notre histoire, se retrouvent...
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...