0 Shares 1266 Views

« Jamais sans la nuit » premier album de Blondino

7 février 2017
1266 Vues
blon copie

« Jamais sans la nuit » premier album de Blondino

Avec Blondino

Sortie le 24 février 2017

Concert le 27 avril 2017 au théâtre Les Etoiles

Les Etoiles
61 Rue du Château d’Eau,
75010 Paris
M° Château d’Eau

Facebook Blondino

blonSortie le 24 février 2017

Elle est Blondino et brouille des pistes en tout genre. une illusionniste qui traverse des miroirs à l’infini, flotte et chante dans des jardins suspendus avec un piano et une guitare.
Elle est Blondino, une silhouette enroulée dans le blizzard. La jeune femme s’enfuit dans les profondeurs de la ville et sème sur son passage un troublante mélancolie, lumineuse et glacée qui nous embrasse et fait frissonner l’échine.

Son premier album « Jamais sans la nuit » dessine des paysages en mouvement et révèle des chansons hybrides, diaphanes, comme dans certains poème d’Éluard. La voix céleste de Blondino serpente sur les vestiges d’une météorite, le piano roule au rythme de cailloux électroniques, et au loin, les harmonies obliques des synthétiseurs forment un royaume incandescent.

Tout ici est étrange, aérien et abyssal. Tout ici est composé pour nous faire perdre pied sur un horizon d’azur synthétique et charnel. On pense aux inquiétantes incantations d’Angelo Badalamenti, le compositeur de David Lynch, aux flocons organiques de Björk et aux orchestrations voluptueuse de Goldfrapp qui planent et hantent les nuits de Blondino.

Elle chante depuis toujours, comme sa mère le faisait à la maison en Lorraine, tandis que son père l’initiait à Gainsbourg, Bashung, Dylan ou les Beatles. La musique est devenue son refuge, en endroit secret pour s’échapper, s’inventer et se perdre.

Blondino a composé, avec la complicité de Jean-Christophe Ortega, un opus de onze pièces comme on tisse une étoffe pour l’hiver, un disque comme une étreinte.

« Jamais sans la nuit » c’est un monde parallèle avec une fille de verre, une icône désenchantée, une femme qui se noie dans le bleu de la nuit et de l’alcool, des villes qui brillent à perte de vue, un amour perdu, des Hommes qui marchent vers la lumière.
C’est un album foisonnant et un moment de recueillement à l’écoute de lignes pures.

C’est une voix qui espère, un regard bienveillant, optimiste et ouvert. Derrière la grâce et l’élégance de Blondino, se cache un amazone qui dévale les rives de la nuit à toute vitesse avec un bouclier en demi-lune. Celle qui aime les sensations extrêmes, se délecte de son inconstance, souffle le chaud et le froid, se brûle sous la colère et nous abreuve de douceur pour éteindre le feu.
Blondino puise sa force dans sa fragilité. Tout ici est tissé pour nous séduire.

[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=cXoVLrJ4EGE[/embedyt]
Découvrez son tout dernier clip “Jamais sans la nuit” :

[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=yUaj7VUk9r4[/embedyt]

A lire : Portrait de Blondino écrit par Lydie M.

[Source texte : communiqué de presse]

Articles liés

“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Agenda
58 vues

“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée

Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...

“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Agenda
58 vues

“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes

Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman,  Sanson,...

La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point
Agenda
74 vues

La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point

Le chorégraphe Olivier Dubois répond une nouvelle fois à l’appel du Sacre. Après l’opus conçu pour Germaine Acogny en 2014, il poursuit, avec For Gods Only, sa collection de Sacre(s) du printemps qu’il confie cette fois-ci à la danseuse...