Indigo – L’exposition de Chris Pillot à la Maison Galerie Laurence Pustetto
Au cœur de Libourne, en plein quartier de la Bastide, Laurence Pustetto a ouvert début 2020 sa maison galerie sur deux étages, dédiée à l’art, à l’artisanat et au design. La Maison Galerie Laurence Pustetto présente quatre expositions en 2021. Après sa participation à l’évènement national de la Fête de la Galerie d’art, la galerie met désormais en exergue le travail de l’artiste Chris Pillot, du 8 avril au 30 mai prochain.
“Le jeu de lignes construit par Chris Pillot entraîne une relation hypnotique avec celui qui y pose son regard. Un spectacle en perpétuelle mouvance que l’artiste élabore par intuition, dans une minutie du geste et de la pensée qui devient mathématique autant que spirituelle. Ses œuvres dégagent une véritable illusion d’énergie cinétique que la lumière du jour anime comme une onde sans cesse renouvelée.”
Laurence Pustetto
Différentes œuvres de séries antérieures seront aussi présentées. Elles nous permettent de suivre les évolutions de l’artiste et de cheminer avec elle jusqu’à la série Indigo.
À propos de l’artiste
Née en 1966 en Île-de-France, Christine Pillot est une citoyenne du monde. Elle se dédie à la peinture depuis 35 ans.
Entre 1980 et 1990 elle étudie aux Beaux-Arts de Toulouse et à l’université d’Arts Plastiques Bordeaux-Montaigne.
À 23 ans elle part au Sénégal et y vit pendant 20 ans. Elle installe son atelier et sa résidence à l’atelier “Céramiques Almadies” à Dakar, centre d’art, galerie d’exposition et atelier, lieu de référence pour les artistes et opérateurs culturels internationaux qu’elle codirige avec Mauro Petroni.
Parallèlement elle enseigne les arts plastiques au lycée français de Dakar et multiplie les projets artistiques pour les espaces publics et privés : commandes, scénographie, design d’espace et d’objets. Son parcours d’exposition fait voyager son œuvre en Afrique, en Europe et en Asie.
En 2005, lors d’une exposition à Cracovie en Pologne, le cercle et la ligne entrent dans son oeuvre.
À Dakar, elle met en place un travail d’expression artistique avec les patients de l’hôpital psychiatrique de Fann et avec les enfants des rues du Samu Social de Dakar.
En 2009 elle rentre en France à Bordeaux où elle installe son atelier.
En 2015 elle crée l’association « La Spirale » pour encourager les relations entre les artistes et le public. Cette trajectoire l’engage dans une démarche de travail axée sur la place de l’homme dans les notions d’espace et de temps, l’évolution permanente que nourrissent l’ouverture au monde et l’importance du dualisme en philosophie.
Vernissage les 8 et 9 avril sur inscription.
[Source : communiqué de presse]
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