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Festival Le temps d’aimer la danse 2015 – Biarritz

6 juillet 2015
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Le-Temps-dAimer-la-Danse

Festival Le temps d’aimer la danse

Du 11 au 20 septembre 2015

Divers tarifs

Réservation en ligne

Ville de Biarritz

www.letempsdaimer.com 

letempsdaimerDu 11 au 20 septembre 2015

Le temps d’aimer la danse fête ses 25 ans du 11 au 20 septembre 2015 à Biarritz.

“Depuis 25 ans, le festival le Temps d’Aimer se laisse entraîner par le plaisir de la danse. Pour être juste, nous devons dire que la création de cet évènement artistique fût pour la ville de Biarritz la marque d’une nouvelle ère. Comme lorsque plein de jeunesse on a soif de bonheur et on croit en l’avenir.” Thierry Malandain

La sélection d’Artistik Rezo

Compagnie Ariadone – Carlotta Ikeda
le 12 septembre à 19h au Colisée

ariadone“Utt” solo emblématique, créé à l’origine par Ko Murobushi et Carlotta Ikeda et reçu comme un uppercut dans les années 80, a participé à faire connaître le butô en Europe. Trente ans après sa création, comme un dernier geste, Carlotta Ikeda transmet le solo à Maï Ishiwata, afin de continuer à explorer cette chorégraphie intemporelle. Le temps passé, les différences entre les deux femmes (leur âge, leur corps, leur expérience de la double culture franco-japonaise…), ce solo livre un portrait de femmes à diverses étapes de leur vie, réincarnées dans le corps de la danseuse.


Ballet de Maribor (Slovénie) – “ Stabat Mater – Le Sacre du printemps (première française) ”
le 13 septembre à 21h à la Gare du Midi

mariborOn l’avait découvert au Temps d’Aimer chorégraphiant Roméo et Juliette sur Radiohead, le chorégraphe Edward Clug appartient à cette famille vite qualifiée néo-classique dont la danse s’imprègne de musique. A moins que ça ne soit la musique que le talentueux chorégraphe roumain sublime par les corps qu’il délivre.

Pour cette nouvelle édition, fidèle à l’incroyable Ballet de Maribor qu’il dirige, il s’empare du Stabat Mater de Pergolèse et du Sacre du Printemps délivrant quelques clés aux mystères sacrés de ces oeuvres. Sa danse se glisse dans les interstices des partitions révélant par sa beauté et sa précision l’empreinte de la musique du programme, divine et paienne. Un véritable coup de coeur.


Compañia Nacional de Danza José carlos Martinez (Espagne)
le 18 septembre à 21h à la Gare du Midi

josecarlosmartinezLe danseur Etoile José Carlos Martinez, qui dirige désormais la Compagnie Nationale de Danse d’Espagne célèbre les 25 ans du festival avec un programme de fête composé de chorégraphes qui ont marqué les éditions du Temps d’Aimer : William Forsythe et sa flamboyance millimétrée, Ohad Naharin et son mythique “Minus 16” sur des rythmes de Mambo, techno et de traditions israéliennes, Itzik Galili et son énergie virile. Un programme exceptionnel porté par une grande maîtrise du vocabulaire de la danse et surtout un appétit incommensurable à en saisir l’énergie. C’est sûrement là que se trouve la sève des grandes compagnies.


Samir Calixto – Korzo productions (Pays Bas – Brésil) – “ Paradise Lost ”
le 19 septembre à 21h au Théâtre du Casino

samircalixtoC’est toujours dans cette même intensité physique forte que le chorégraphe brésilien Samir Calixto déploie sa danse. Il avait emporté le public du Temps d’Aimer avec son époustouflante interprétation des “4 saisons” de Vivaldi. Peut-être est-ce dans les thèmes choisis qu’il tire cette puissance archaïque et tellurique, magnifiée par sa danse ?

Dans son deuxième opus, c’est à partir du poème épique de John Milton, “Paradise Lost”, que les danseurs prennent corps comme le fruit de forces apparemment contradictoires. Lumière, ombre, saint, impie, Bien, Mal : Samir Calixto dessine une humanité fragile et complexe. Et mortelle… ce que l’on aurait presque oublié le temps de ce spectacle.


Anne Nguyen & Michel Schweizer
le 20 septembre à 17h au Colisée

annenguyenRetrouver l’iconoclaste Michel Schweizer et la breakeuse Anne Nguyen comme chorégraphes sur un même plateau aurait de quoi surprendre si ce n’est qu’ils ont accepté de rentrer dans le monde de l’enfance autour d’un projet jeune public chorégraphique et littéraire bicéphale.

 Les règles du jeu ? Chacun des chorégraphes se confronte à un texte de son choix et propose une pièce de 20 minutes avec des interprètes communs.

[source du texte et crédit visuel: communiqué de presse]

 

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