Exposition personnelle d’Alexander Deanesi à la Teodora Galerie
Pour sa première exposition personnelle à la Teodora Galerie, Alexander Deanesi proclame sa volonté d’unité à travers l’Art. Sa démarche, comme une synthèse intemporelle, puise dans les époques et les territoires du monde les symboles annonciateurs d’une nouvelle pensée.
Alexander Deanesi, est un artiste peintre italien, diplômé des Beaux Arts de Florence au style Pop-Art et Art urbain. Passionné du Beau et de la Renaissance, c’est avant tout un acteur du mouvement underground parisien. Son oeuvre, puissante et colorée, déjà maintes fois exposée en France ou à l’étranger ou dans divers institutions (la Dokumenta de Kassel, le Centre Pompidou, Le Palais de Tokyo et le Grand Palais) se veut comme une synthèse décapante qui réconcilie les philosophies orientales et occidentales, le passé et le présent, mais aussi les robots et les hommes.
Face à un monde meurtri par les divisions anciennes, le peintre réconcilie les philosophies orientales et occidentales et ouvre un dialogue entre passé et présent. Adepte du syncrétisme, son oeuvre flamboyante renoue avec les Renaissances européennes. Dans la droite ligne des philosophes humanistes italiens tels que Pico della Mirandola, ou encore Marsilio Ficino, son oeuvre fusionne, avec humour et fantaisie, doctrines, religions, croyances et connaissances, qui semblent incompatibles au premier abord, mais trouvent un équilibre qui lui donnent une richesse et des connaissances nouvelles.
C’est dans les détails que l’on peut comprendre l’oeuvre d’Alexander Deanesi. Chaque toile est remplie d’éléments qui ont un rôle dans la compréhension de la narration du tableau. On retrouve par exemple les tissus venus d’Orient indien, ou encore de Venise. Alexander Deanesi fait référence aux grands maîtres de la Renaissance italienne comme Titien mais aussi Dürer, avec cette volonté de donner à chaque élément du tableau toute sa place et son sens. Sans pour autant se considérer comme un peintre symboliste, cette quête de sens est omniprésente dans sa peinture.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Riding on a cloud” un récit émouvant à La Commune
A dix-sept ans, Yasser, le frère de Rabih Mroué, subit une blessure qui le contraint à réapprendre à parler. C’est lui qui nous fait face sur scène. Ce questionnement de la représentation et des limites entre fiction et documentaire...
“Des maquereaux pour la sirène” au théâtre La Croisée des Chemins
Victor l’a quittée. Ils vivaient une histoire d’amour fusionnelle depuis deux ans. Ce n’était pas toujours très beau, c’était parfois violent, mais elle était sûre d’une chose, il ne la quitterait jamais. Elle transformait chaque nouvelle marque qu’il infligeait...
La Croisée des Chemins dévoile le spectacle musical “Et les femmes poètes ?”
Raconter la vie d’une femme dans sa poésie propre, de l’enfance à l’âge adulte. En découvrir la trame, en dérouler le fil. Les mains féminines ont beaucoup tissé, brodé, cousu mais elles ont aussi écrit ! Alors, place à leurs...