0 Shares 1051 Views

Exposition Linescapes – Decktow – Galerie L’oeil ouvert

9 mars 2016
1051 Vues
Linescapes Decktow

Exposition Linescapes

Oeuvres de Decktow

Du 16 mars au 9 avril
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Le dimanche de 14h à 19h (Galerie L’oeil ouvert / République)
Entrée libre

Vernissage le 17 mars à partir de 18h en présence de l’artiste

Galerie L’oeil ouvert / Marais
74, rue François Miron
75004 Paris
M° Saint-Paul

Galerie L’œil ouvert / République
1, rue Lucien Sampaix
75010 Paris 
M° République / Jacques Bonsergent

www.loeilouvert.com

Linescapes Decktow copieDécouvert à l’occasion des battles exceptionnelles de Secret Walls qui ont tenu en haleine la scène street art en 2015, Decktwo s’est hissé au sommet en créant des scènes fantastiques peuplées de créatures d’un autre monde dans des cités urbaines en mutation. A partir de mars 2016 L’œil ouvert consacre une exposition à ce jeune artiste au talent explosif. Maître du dessin en noir et blanc Decktwo a le goût du détail et des folles perspectives. 

Cette série de dessins inédits en pièces uniques est à découvrir absolument d’autant que Decktwo s’est fait rare à Paris dernièrement très sollicité sur la scène internationale. Une performance le soir du vernissage permettra au public de découvrir cet énorme talent et de partager un bout de son univers. 

Decktwo / Thomas Dartigues est un artiste français, basé à Paris, diplômé d’un DNSEP à l’Ecole Européenne Supérieure de l’Image de Poitiers. Artiste multi-média, il aime passer de la mine de plomb à la bombe de peinture, de la feuille de papier au mur, en passant par la conception graphique, l’animation et la vidéo. Toujours à la recherche de la dynamique et du mouvement, il aime mélanger les techniques pour bousculer les rapports d’échelles et de cadre. 

Sa première exposition a eu lieu en 2006 à la Galerie Arums, au sein du Carré Rive Gauche. Depuis, il a été appelé dans des festivals et événements, tels que Stroke Art Fair à Berlin. Il reçoit des commandes du monde entier, tel que le Japon en avril dernier et plus récemment New York, où il est d’ailleurs régulièrement présent. 

Decktwo-sketch-bots-rusty-bot -“La ville est pour moi une forte source d’inspiration. Son aspect tentaculaire, ses notions de réseaux et de connectivité, ses rapports d’échelles et d’évolution sont inscrits tel un ADN dans mes créations. La Cité est une entité à double visage, un lieu de tensions et de rapports de force mais aussi un incroyable vecteur d’énergie. Cette dynamique est l’un des fondements de mon travail, un mouvement porteur qui me pousse à repenser la ville. En réinventant sa perception et en jouant sur les échelles, je cherche à créer un univers dans lequel le spectateur peut s’immerger. “

 

 

 A découvrir sur Artistik Rezo : 

– Dossier des vernissages – Mars 2016


[
Source texte : communiqué de presse // ©Decktow // Courtesy Galerie L’oeil ouvert]

Articles liés

N Degrés de liberté : un spectacle pour replonger dans l’histoire de la Commune
Agenda
59 vues

N Degrés de liberté : un spectacle pour replonger dans l’histoire de la Commune

Sur un tréteau de 2m², sept comédien·ne·s de cinq nationalités différentes viennent incarner l’histoire d’une révolution qui ressemble à la Commune de Paris. Dans cet espace restreint dans lequel ils sont forcés de faire groupe, leurs corps disent la...

De la danse, de la musique et des marionnettes avec “Les petites choses” au TVH
Agenda
50 vues

De la danse, de la musique et des marionnettes avec “Les petites choses” au TVH

Entre arts du Geste, danse, musique et marionnettes, la création de la compagnie espagnole La Mecànica va rapprocher chacun de son enfant intérieur ! Le spectacle, plein de fraîcheur et de malice, pousse les adultes à revoir le monde...

Klaus Johann Grobe en concert au Popup! le 29 mars
Agenda
62 vues

Klaus Johann Grobe en concert au Popup! le 29 mars

Ce groupe de Zürich rend la langue de Goethe sexy, voire exotique. Signés par le label chicagoan Trouble In Mind (Morgan Delt, Ultimate Painting, Limiñanas…), Sevi Sandolt, à l’orgue vintage, et Daniel Bachmann, à la batterie, tout aussi lo-fi...