0 Shares 1220 Views

Djalouz – Bab’s Galerie

20 janvier 2014
1220 Vues
Djalouz - Bab's Galerie

Djalouz

Du 31 janvier au 28 février 2014
Mardi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 19h et sur rdv au 06.52.58.57.42

Vernissage de l’exposition le 31 janvier à partir de 19h

Bab’s Galerie
83, rue Sadi Carnot
Bagnolet
M° Gallieni

Du 31 janvier au 28 février 2014

Après 10 ans dans le milieu de l’art urbain et des friches industrielles, Djalouz accepte enfin une exposition solo sur le thème de l’introspection : « Comment faire entrer dans les murs son expression artistique alors qu’elle ne demande qu’à sortir du cadre ? »

Cette exposition sera l’occasion de découvrir l’univers de l’artiste sur de nouveaux supports, où la forme prend tout son sens avec les éléments qui l’entourent. Venez découvrir jusqu’où votre imagination peut vous porter au contact de ses œuvres urbaines, autant figuratives qu’abstraites. 

Djalouz (HW-2AC–OTM) 

Plasticien et street artist, Djalouz est né en 1985.

Parallèlement à l’obtention de son diplôme de dessinateur maquettiste, il débute le graffiti en 2003, inspiré directement par la jeune scène montante du graffiti hexagonal et européen (Marko 93, Dire, Daim, Vesod, Dran, Gris One, Inti, Vhils, No art, etc.) mais aussi par le monde de la bande dessinée (Enki Bilal, Frank Miller).
 
La bombe de peinture est son outil de prédilection car il est le médium idéal pour la peinture en grand format et surtout lui laisse une grande liberté quant au choix des supports.

Les lieux abandonnés, usés par le temps, les friches et usines laissées aux mains de la nature lui ouvrent de nouvelles perspectives.

En 2009, il met de côté son travail figuratif pour développer un travail plus abstrait, par le biais de formes en volume circulant et se matérialisant dans des lieux incongrus. Dès lors, il s’efforce de sortir le graffiti de ses conventions en le faisant évoluer sur du sol au plafond.

Dans la rue, en friche, sur toile ou dans une installation, la forme de son travail prend sens avec les éléments qui l’entourent. Ensemble, ils créent une mélodie qui s’inspire de la mélancolie du lieu où l’on se trouve.

La photographie joue un rôle important dans la transcription de ces émotions, laissant une trace de ces œuvres vouées à disparaître, elles aussi.

La rue est son aire de jeux. Il y trouve différentes surfaces qui lui permettent de matérialiser son œuvre.

Avec la toile, il plonge dans le châssis, lui transmets une âme, inspirée de ces mêmes murs de friches marqués par le temps. Jamais réellement achevé, son champ d’expérimentation n’a pas de limites. Car même s’il n’y a plus ni toiles ni murs, reste la voie ouverte de son imagination.  

Articles liés

“Un siècle, vie et mort de Galia Libertad” à découvrir au Théâtre de la Tempête
Agenda
41 vues

“Un siècle, vie et mort de Galia Libertad” à découvrir au Théâtre de la Tempête

C’est Galia Libertad – leur amie, leur mère, leur grand-mère, leur amante – qui les a réunis pour leur faire ses adieux. Ce petit groupe d’amis et de proches, trois générations traversées par un siècle de notre histoire, se retrouvent...

“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Agenda
70 vues

“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée

Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...

“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Agenda
71 vues

“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes

Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman,  Sanson,...