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Découvrez les nouvelles estampes d’Ërell à l’atelier Martial

Découvrez la nouvelle série d’estampes d’Ërell le 22 mai 2019 à 18h à l’atelier Martial ! Cette série inédite fera écho à sa performance sur le Mur Oberkampf. De belles surprises en perspective…

Ces éditions ont été réalisées en co-production avec l’atelier Martial à Paris et l’atelier Chalopin de Lyon, ville de résidence de l’artiste.

L’atelier Martial
Fondé en 1973 par Philippe Martial, et rejoint par son fils Julien dans les années 2000, l’atelier Martial conçoit et réalise des projets spécifiques et sur-mesure pour ses clients particuliers ou professionnels.
L’atelier Martial allie plusieurs savoirs faires et techniques tels que la dorure sur cuir à la main, la reliure, la gainerie, le marquage à chaud et le gaufrage.
De la personnalisation à la création d’objets uniques ou en multiples, l’expertise de l’atelier est au service de la réalisation de coffrets, écrins, malles, boites livre, étuis, livres d’art…
De la conception à la fabrication, l’Atelier Martial gère les projets dans leur globalité, pour ses clients qui sont les plus grandes maisons de luxe, les designers, les agences de communications ou d’architectures, les galeries d’art internationales, les éditeurs internationaux…

L’atelier Chalopin
L’atelier Chalopin sérigraphie est un atelier de pratique artistique situé à Lyon. L’association régie par la loi de 1901 dispose d’un équipement professionnel destiné aux artistes, éditeurs, associations, qui souhaitent éditer ou réaliser leurs estampes en sérigraphie.

Ërell
Artiste et designer, Ërell expérimente au grand jour une forme d’appropriation éphémère de l’espace urbain.
Son travail est issu du graffiti. Le module qu’il emploie aujourd’hui résulte du fractionnement d’une forme géométrique simple, l’hexagone, elle même issue d’une schématisation de son propre tag. De cette pratique, il retient l’automatisme du geste, l’énergie qui transforme la typographie en emblème visuel, en logo, modulable et adaptable, mais également le caractère viral, vivant de la multiplication du motif. À l’image des tags qui grouillent sur les murs de la ville et lui donne vie, le module d’Ërell se démultiplie afin de générer une infinité de motifs « moléculaires » et de compositions géométriques qui interagissent avec l’architecture ou le mobilier urbain.
Depuis 2010, Ërell compose in-situ ses collages urbains en plein jour et à visage découvert, invitant les passants à modifier leur appréhension de la ville et les invitant au dialogue. Ces interventions, qu’il nomme des Contaminations, déploient un alphabet inépuisable de « figures » dont on peut découvrir la richesse au travers d’une série de pièces éponymes : les Inventaires moléculaires.

 

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