DDESSIN {18} – Atelier Richelieu
Fort de ses cinq ans d’existence, DDESSINPARIS, le cabinet de dessins contemporains unique en son genre, au format intimiste et à l’avant-garde de la création graphique, investira de nouveau l’Atelier Richelieu du 23 au 25 mars 2018. Cette sixième édition viendra confirmer à la fois la place de DDESSINPARIS au cœur de la Semaine du dessin et ses spécificités, qui le démarquent des autres événements du mois de mars consacrés au dessin sous toutes ses formes.
L’ambition de DDESSINPARIS{18} s’inscrit dans l’esprit d’Ève de Medeiros, sa directrice
fondatrice : donner leur chance à de talentueux artistes nationaux et internationaux et créer du lien entre les divers acteurs du monde de l’art. La direction artistique de
DDESSINPARIS{18} témoignera de cet engagement.
Une vingtaine de galeries françaises et étrangères
Une vingtaine de galeries seront présentes pour cette sixième édition de DDESSINPARIS,
notamment : Galerie 24Beaubourg (Paris), la Galerie Claire Corcia (Paris), Creative Growth Art Center (Oakland – USA), Galerie Detais (Paris), Galerie Gratadou – Intuiti (Paris, Bruxelles – Belgique), H Gallery (Paris), La Maison de la plage (Tunis – Tunisie), Galerie Larnoline (Sauve),LMS Gallery (Bruxelles – Belgique), Loo & Lou Gallery (Paris) qui proposera un solo show de l’artiste Arghaël, GALLERY MAISON D’ART (Osaka – Japon), Galerie Marie Jaouen (Paris), Galerie Polysémie (Marseille), Rizomi Gallery (Parme – Italie), Teodora Galerie (Paris).
3 solo shows
Harold Guérin, artiste plasticien, est né en 1981 et travaille entre Orbais l’Abbaye et Paris. Il est diplômé de L’École Nationale de Nancy en 2016. Pour cette deuxième participation de l’artiste, la direction de DDESSINPARIS propose une nouvelle série de dessins intitulée Abrasives II, proposition soutenue par Anne Muraro, collectionneuse et engagée auprès de la jeune scène artistique contemporaine. Harold Guérin travaille selon une technique inédite, le grattage sur feuille de papier de verre, sur un mode abrasif.
On peut observer depuis plusieurs années dans l’œuvre de Kokou Ferdinand Makouvia (Paris et Lomé – Togo), le glissement du dessin, de la notion de support (œuvre sur papier), à la notion de médium. Si l’on assimile le dessin au trait, nous pouvons faire basculer toutes les œuvres d’art dans le champ du dessin. L’idée de la ligne est liée à celle du contour et de la forme. La mise en relation du dessin à la sculpture est une ligne en trois dimensions, un dessin dans l’espace. Ève de Medeiros, fondatrice et co-directrice artistique de DDESSINPARIS propose, dans le cadre d’une sélection d’œuvres de dessins de l’artiste Kokou Ferdinand Makouvia, un champ élargi du dessin contemporain par la présentation d’une installation d’une quarantaine de dessins et une sculpture dans l’espace. Elle est soutenue dans cette proposition par Ronan Grossiat, collectionneur, engagé auprès de la jeune scène artistique contemporaine.
Fascinée par le trait, qu’il soit image ou écrit, admirant l’expression synthétique, Brigitte Lurton (Mougins) a toujours dessiné. Ses références – sans frontières – étant aussi bien Fragonard, Rembrandt, les kimonos anciens, Dürer, Daumier ou les peintures rupestres du Tassili, que Gotlib, Alexis et Reiser. Sa naissance dans une fratrie nombreuse fait que l’humain, dans sa multitude et sa diversité incroyables, l’émerveille, quelle variété de modèles !
Le Corner Illustrateurs / 4 artistes
Agathe Toman, 28 ans, est une artiste française autodidacte qui vit entre Biarritz et Paris. Elle utilise principalement le stylo Bic noir sur papier pour les illustrations mais aussi l’acrylique sur toile. Elle travaille sur d’autres supports tels que les skateboards, les planches de surf ainsi qu’en très grands formats sur des murs.
Réfractaire, Pierre de Bonneuil (Paris) n’exclut en aucun cas son siècle. Autodidacte, il accorde énormément d’importance au fond réel de ses exécutions. Les Éditions Le Chat Rouge ont fait de lui l’illustrateur des bonnes histoires qui sentent la peur et l’énigme. En 2017, il se permet d’orner les Contes d’Edgar Poe et d’honorer, dans une anthologie étonnante, Les Décadents. Auteur de plusieurs articles consacrés au dandysme dans la presse, compositeur par d’exquis moments, il n’en reste pas moins un intrigant.
Pour sa deuxième participation au salon DDESSINPARIS, Popy Loly de Monteysson (Ile-deFrance) déploie un carnet de voyage sur un mur de 3,50 mètres, qui interroge ses souvenirs et revisite les portraits d’enfants des pays traversés. Elle propose ainsi un voyage intérieur autant que géographique. Une série de dessins de différents formats constitue une véritable cartographie de la mémoire qui s’installe dans une conversation entre les paroles retranscrites, l’usage du carnet de note et la mémoire fantasmée au travers de récits, photos de famille, recherches personnelles ; qui impulse une dynamique visuelle toujours en mouvement.
David Scrima est né en 1971 et travaille à Paris. Après des études de design graphique à l’École Supérieure d’Arts Appliqués Estienne, il devient illustrateur pour la presse et pour l’édition. Un trait nerveux et dynamique, des lettrages rappelant le Street-Art, des couleurs chatoyantes, les images de David Scrima sont autant influencées par des dessinateurs de bandes dessinées tels Jack Kirby, Gene Colan, Marcel Gotlib ou André Franquin, que des artistes peintres comme Lucian Freud, Edouard Manet ou Peter Blake. David Scrima est d’ailleurs aussi l’auteur d’une bande dessinée à quatre mains intitulée Super-Héros, réalisée avec le chanteur Cleet Boris (alias Hubert Mounier) du groupe l’Affaire Louis Trio.
[Source texte : Communiqué de presse]
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