“50 ans, ma nouvelle adolescence”, la bouffée d’air frais soufflée par Martine Fontaine au Théâtre du Roi René
Fanny a tout juste 50 ans quand son mari la plaque brutalement pour une femme qui a l’âge de leur fils ainé… 21 ans ! Elle raconte avec humour, pudeur et pétages de plombs le choc, sa chute et sa résurrection. A la fin, plus épanouie et indépendante que jamais, elle sera devenue… Une nouvelle femme !
“50 ans peut devenir l’âge où tout recommence, l’âge de tous les possibles.” Formé à ces débuts au théâtre, Bernard Jeanjean revient à ces premières amours en adaptant pour la scène « J’me sens pas belle ». Ce succès, tient l’affiche dans les théâtres parisiens de la Manufacture des Abbesses et la Grande Comédie. Le point de vue souvent féminin de ses films l’entraine tout naturellement à écrire pour le théâtre un texte axé uniquement sur l’histoire d’une femme, dédié à sa muse et collaboratrice Martine Fontaine. Sensible aux causes féminines, il aborde cette fois la thématique des femmes de 50 ans, à travers cette nouvelle création «50 ans ma nouvelle adolescence ».
Auteur réalisateur pour le cinéma, script doctor sur une trentaine de films français, Bernard Jeanjean commence sa carrière par l’écriture pour la télévision de 21 épisodes de la série PJ. Passionné par le couple et les relations humaines, il développe avec succès son univers à travers l’écriture et la réalisation pour le cinéma de 3 comédies romantiques : « Une folle envie » avec entre autres Clovis Cornillac et Olivia Bonamy, « J’veux pas qu’tu t’en ailles » avec Richard Berry et Judith Godrèche, et la célèbre « J’me sens pas belle » avec Marina Foïs et Julien Boisselier, encensée par la critique, autant que par le public.
Après deux ans de formation en école d’Art Dramatique, dont l’école Nationale de Chaillot, elle rencontre Bernard Jeanjean avec qui elle collabore sur de nombreux projets d’écriture de courts et de longs métrages pour le cinéma. Elle co-écrit son 3ème film, le plus personnel, « Une folle envie ». Parallèlement, autrice-compositrice, elle participe à la bande originale de ce film ainsi que pour « J’me sens pas belle » en écrivant les chansons titre. Elle développe son univers musical, monte un groupe au style Jazzy bluesy et sort un album, classé « Coup de cœur Fnac ».
On retrouve la comédienne à la télévision avec entre autres, la série « PJ » pour laquelle elle compose également une chanson, « Le chant des sirènes » de Laurent Herbier, primé au festival de la fiction TV de la Rochelle, « Mes chères études » d’Emmanuelle Bercot. Au cinéma, on la voit notamment dans l’univers de Maïwen pour « Le bal des actrices », celui de Clément Michel pour son premier film « La stratégie de la poussette » aux côtés de Raphaël Personnaz, ainsi que dans « J’veux pas qu’tu t’en ailles » de Bernard Jeanjean avec entre autres Richard Berry, « Une folle envie » avec Clovis Cornillac et Olivia Bonamy et plus récemment, dans le dernier film de Valérie Lemercier « Aline ».
Après avoir co-adapté le film « J’me sens pas belle » pour la scène, elle interprète le rôle féminin au théâtre. Le succès de la pièce prolonge la programmation pendant plus d’un an, à la Manufacture des Abbesses, puis à la Grande Comédie. Elle enchaine avec un « seule en scène » dans un texte de Murielle Magellan et mis en scène par Jade Duviquet « Il y a (trop) longtemps que je t’aime ». Plus récemment, au cœur d’une troupe, c’est un rôle de danseuse de Flamenco qu’elle incarne dans la pièce « La danseuse du crépuscule » écrite par Claude Ferri-Pisani, mise en scène par Isabelle Jeanbrau, mise en musique par Daniel Jea, et produite par la Compagnie Siparka.
Collaboratrice à l’écriture et muse de Bernard Jeanjean, elle fait partie de plusieurs de ses projets, en cours de développement, mais chut ! Pour l’instant, c’est « 50 ans ma nouvelle adolescence » que la comédienne, et compositrice des parties musicales, porte sur les planches. Après une programmation parisienne (le Théâtre de Nesle, Les Feux de la Rampe, la Manufacture des Abbesses, le Théâtre de l’Odyssée à Levallois…) et les festivals d’Avignon OFF, le spectacle continue sa route à Paris (Théâtre du Roi René), en province et à Monaco (Théâtre des Muses).
[Source communiqué de presse]
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