Cutlog 2013 – bilan
Foire Off internationale, cutlog confirme sa position « under the radar », de véritable vivier de talents innovants ! Plus de trente galeries internationales y ont démontré l’effervescence de l’art contemporain.
Quelques resultats :
- « Les Gorilles » de Sébastien Pasques – Galerie Les Singuliers ont été vendus pour 140’000 euros ;
- Photo de Bruno Aveillan « Quatre » – Galerie spree, 25’000 euros ;
- Toutes les photographies de Romain Rivière – Galerie Lebenson ont été acquises par un collectionneur étranger ;
- Le travail d’Eros de Finis – Romberg Arte Contemporanea a sucité un grand intérêt de la part des marchands Français ;
- Plusieurs dessins de Dan Miller ont été acquis par d’importants collectionneurs – Galerie Creative Growth.
- Plusieurs galeries exposées ont eu des échanges concluants avec musées et institutions parmi lesquels le Musée de Lausanne et le LAM.
Le cutlog club a permis d’offrir une autre dimension à la foire en proposant un programme intense de performances, rencontres, installations, art vidéo, projets, showcases et DJ sets, ainsi que le 3e festival du film d’artistes de Paris.
Trois prix ont été remis dans le cadre de cutlog :
Le prix ARTE/cutlog a été remis à William Scott
Prix de la découverte pour le film Geranos de Grégory Buchert
Les œuvres de Gregory Buchert se déclinent principalement en vidéo et performance et sont nourries de nombreuses références littéraires (Gide, Calvino, Joyce…). Entre humour et réflexion critique, elles jouent des notions d’échec et d’irrésolu et proposent, par leurs gestes ténus, des pistes de réflexion sur l’être au monde de l’artiste mais aussi, par extension, de chacun d’entre nous. Son travail a été notamment présenté au festival Hors-piste du centre Georges Pompidou, au festival Loop (Barcelone), à la Kunsthausbaselland (Bâle), à la Motorenhalle (Dresde), au CRAC Alsace, au FRAC Bretagne ainsi qu’à la Galerie Jérôme Poggi (Paris).
Prix des Nouvelles Écritures, parrainé par Montblanc, pour Un film abécédaire d’ Éléonore Saintagnan.
Le travail d’Éléonore Saintagnan consiste à s’immerger dans des communautés ou des systèmes de pensée pour en étudier le fonctionnement, et à restituer ses observations sous la forme d’écrits, de dessins, de schémas, d’installations puis de vidéos ou de films qui souvent, dépassent la simple description pour agir directement sur le milieu observé. Ses films ont été présentés dans des musées comme le Palais de Tokyo à Paris ou le Wiels à Bruxelles, et dans des festivals de cinéma comme Hors Pistes, Côté Courts ou le FID Marseille.
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