Organisée par la D Galerie, découvrez l’exposition collective “Ici et toujours”
Du 27 au 31 mars, découvrez les œuvres de Rada Tzankova, Alexandre Lequœur, Déborah Di Fiore et Bénédicte Estripeau à travers “Ici et toujours”. Cette exposition souligne le regard que chacun des quatre artistes est capable de mener sur ce qui est familier, personnel, proche, autour de soi, et peut, quand il est traité avec soin, contenir ce qu’il y a de plus éternel et multiple.
“Je parle d’une ligne que l’on voit et dont le graphisme semble attirer vers un équilibre/déséquilibre absolu et envoûtant chez Alexandre Lequœur, du portrait tiré sans filtre-ou avec une telle vérité que l’on se voit soi-même écouter et sentir les expressions simples de celui face à nous chez Déborah Di Fiore, je parle aussi des paysages parcourus, en mouvement ou fixés dans une mémoire bien subjective et qui sait rendre enveloppant le trait dans les œuvres de Rada Tzankova, je pense aussi à ce qui fait de la passation de mémoire ou marqueur, un jeu collectif qui nous baigne et semble si évident, grand avec Bénédicte Estripeau.
Rendre absolu ce qui n’est qu’anecdote, pour laisser entrevoir “Ici et toujours”, à travers du dessin majoritairement et de l’installation textile avec trois univers distincts. C’est ce qui, en particulier, pousse la D Galerie à réunir Rada Tzankova, Alexandre Lequœur, Déborah Di Fiore et Bénédicte Estripeau.”
Domitille Bertrand, commissaire d’exposition
Les artistes exposés
Rada Tzankova
Ses dessins et peintures évoquent le subtil lien que tissent des individus avec leurs territoires. Toujours entre dessins éparses et fondus de couleurs, Rada sait insuffler une poésie douce dans ce qu’elle trame sur le papier, support prédominant dans sa démarche artistique.
Bénédicte Estripeau
Bénédicte Estripeau est une jeune artiste fascinée par le geste de transmission. Elle fait, des mémoires individuelles et de leur passation, le pivot central de sa création.
Déborah Difiore
Par la ligne se dessine un lien entre moi et le monde qui m’entoure ; Carnets de dessins, gouaches colorées ou fresques monumentales. Fragments de moments pour créer un pont entre le passé et le présent, entre l’art et le design.
Alexandre Lequœur
Substituant le verre à la toile, je fais de l’ombre la matière première de mes travaux. Explorant l’insaisissabilité, les espaces de seuil en tant que lieux de rencontre, je crée des tableaux-installations en usant de lames plutôt que de pinceaux.
[Source : communiqué de presse]
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