“Désinvolte” : le premier album de Tina Rose est disponible !
Dans “Désinvolte”, son premier album, Tina Rose, qui revendique des influences rap, soul, et rock, montre aussi l’étendue de ses talents de compositrice pop-folk. Ses gimmicks assassins, et ses mélodies tout en finesse, se mettent au service de textes forts, drôles et sensuels. Elle nous livre ainsi quatorze titres d’un album aussi intime qu’universel.
Tina Rose, de son vrai nom Rose Sanseverino, est née pour être artiste. Fille du bien nommé Sanseverino et d’une mère artiste-peintre, elle met très tôt à profit cet environnement familial riche en créativité et façonne, dès l’âge de 8 ans, des spectacles et écrit ses premiers poèmes. Plus tard, Tina Rose est une ado hypersensible et indomptable, en recherche d’indépendance et d’attention, qui combat aussi ses angoisses. Sa scolarité semée d’embûches la mène vers des études de psychologie, qu’elle réussit avec brio.
Mais une fois son diplôme en poche, Tina Rose décide de replonger plus sérieusement dans l’écriture et la composition. A 23 ans, ce retour marque un tournant décisif dans sa vie artistique. En parallèle, la scène l’appelle et son père lui propose ses premières parties, les conduisant ensemble sur la tournée de Sanseverino & Tangomotàn en 2020. C’est à cette époque que Tina Rose tente sa chance dans plusieurs concours et se fait repérer par Mischa Aznavour. Une rencontre qui la conduira jusqu’à l’éditeur Gérard Davoust, des prestigieuses Éditions Raoul Breton. S’ensuit une riche collaboration, avec en ligne de mire un premier disque. Mais elle n’oublie pas pour autant la scène : elle écume les bars parisiens, les cabarets queer comme La Flaque, ou encore continuer d’assurer des premières parties. Présente sur tous les fronts, elle participe également à l’album hommage à Charles Aznavour de Dany Brillant, sur le titre Le feutre taupé.
Tina Rose construit pas à pas son projet, choisit ses musiciens et trouve le ton et la couleur que prendra son album. Avec une écriture réaliste et pleine d’humour, elle dénonce notamment les injonctions à la féminité et les diktats imposés aux femmes. Elle décrit avec finesse et humour ce que l’on n’oserait pas dire : les petits évènements de la vie ordinaire (Bonne mais seule, Le parti insomniste, Pisser en paix), les désirs et les fantasmes inavouables (Le Boucher, L’effet que ça me fait), les relations complexes (Mini moi, Bavarde) et les déceptions amoureuses (Mon chou à la crème, Nénuphar).
(Re) Découvrez le single et clip de Jalouse extrait de ce premier album
[Source : communiqué de presse]
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