Atelier Coton x Ërell : une collaboration artistique, responsable et urbaine
L’artiste Ërell s’est associé à la marque Atelier Coton pour créer un tote-bag : une rencontre entre le coton et les écritures « fractales » de l’artiste. Pour cette collab avec Atelier Coton, l’artiste a joué avec les échelles : le noir est imprimé en volume avec une encre texturée, qui pourrait rappeler un « grip » de skateboard et invite au toucher.
Cette collab inédite a été imprimée en série limitée à 150 exemplaires. Le tirage s’est déroulé dans l’atelier lyonnais avec les cofondateurs de la marques qui ont eu la chance de travailler en présence de l’artiste. Un beau moment de partage ou art et artisanat se lient au service d’une commune direction.
Tous les mois, Atelier Coton crée en interne de nouveaux dessins (les « séries ») et invite ses artistes préférés pour des collabs. Une manière d’ouvrir le champ de création et de partager ses coups de cœur pour des illustrateurs, designers, artistes, et… street artistes !
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Atelier Coton
Atelier Coton est une marque lyonnaise qui propose principalement des tote-bags et accessoires de mode 100% coton biologique, imprimés à la main. Dans son atelier de sérigraphie artisanale, Atelier Coton imprime sur textile et papier pour sa marque, ainsi que pour les professionnels et particuliers.
Atelier Coton a été fondé en 2018, par deux amis de longue date (Marion Maupetit & Romain Gautherot) qui se sont rencontrés en 2007 à Shanghaï.
Pour eux, les notions de protection de l’environnement, de valorisation de l’artisanat et de développement artistique sont essentielles.
Tous les articles proposés par Atelier Coton sont issus de l’agriculture biologique, certifiés par Ecocert. Un coton biologique de qualité pour des articles confectionnés sur-mesure pour Atelier Coton. Chaque tote-bag est imprimé à la main en sérigraphie (impression « au cadre »), couleur par couleur, avec des encres propres, sans solvant ni métaux lourds.
Ërell
Artiste et designer, Ërell expérimente au grand jour une forme d’appropriation éphémère de l’espace urbain ; son travail est issu du graffiti. Le module qu’il emploie aujourd’hui résulte du fractionnement d’une forme géométrique simple, l’hexagone, elle même issue d’une schématisation de son tag . De cette pratique, il retient l’automatisme du geste, l’énergie qui transforme la typographie en emblème visuel, en logo, modulable et adaptable, mais également le caractère viral, vivant de la multiplication du motif. A l’image des tags qui grouillent sur les murs de la ville et lui donne vie, le module d’Ërell se démultiplie afin de générer une infinité de motifs « moléculaires » et de compositions géométriques qui interagissent avec l’architecture ou le mobilier urbain.
En envahissant sporadiquement les espaces publics dans lesquels il intervient,
il veut modifier l’appréhension qu’ont les passants de l’espace urbain et les invite à chercher au détour des rues des signes disséminés sur leur passage.
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