Tentez de remporter 1 500 € grâce aux Regards de l’ICART

Les étudiants de l’ICART, école de Management des métiers de la culture, lancent la deuxième édition des Regards de l’ICART, concours de courts-métrages, afin de soutenir la jeune création internationale. Candidatures possibles jusqu’au 23 décembre.

Un thème : le jeu

Vous avez entre 16 et 30 ans et vous vous sentez l’âme d’un réalisateur ? Vous pouvez envoyer votre travail jusqu’au 23 décembre 2019 en remplissant ce formulaire (les conditions de participation y sont toutes indiquées). Cette année, le thème imposé est celui du jeu. Thème aux multiples facettes, le jeu peut être ludique, enfantin, amoureux, d’argent, de guerre, de gang, de rôle, de société, passionnel ou même les jeux que nous faisons avec nous-mêmes.

Une soirée de remise de prix

Rendez-vous le 27 février 2020, au cinéma Le Lincoln à 20 heures. Les pré-sélectionnés se verront peut-être remettre un prix au cours de cette soirée : Meilleur Film, Meilleur Scénario, Meilleur Acteur, Meilleure Actrice, Meilleure Musique, ainsi que le Prix du Coup de cœur des Étudiants de l’ICART. Le Lauréat du Meilleur Film se verra remettre la somme de 1 500 €. Alors, faites connaître votre travail en étant le plus créatif possible !

Un jury de marque

Le jury, composé de professionnels du cinéma, aura la délicate mission de choisir parmi les candidats ceux qui méritent d’être récompensés.

Cette année, les élèves de l’ICART auront l’honneur d’avoir comme marraine de cérémonie, Mathilda May, auteure, metteure en scène et comédienne. Cette marraine prestigieuse a reçue le César du Meilleur espoir féminin pour Le Cri du Loup en 1988 et le Molière de la Meilleure metteure en scène pour Le Banquet en 2019.

Instagram Regards de l’Icart

Camille Beau

À lire également sur Artistik Rezo :

Les Regards de l’ICART : Prix du meilleur court-métrage pour Sans mot dire de Quentin Lecocq, de Marie Dardenne

La première édition des Regards de l’ICART, de Léa Drevon

Découvrez le Palmarès de la 1ère édition des Regards de l’ICART, de Orianne Jouy