L’étrange génie de Charlie Spiegel au Théâtre la Croisée des Chemins
L’action se passe majoritairement dans le grenier d’un ancien monastère (à Yuste). Charlie Spiegel est une jeune femme qui a hérité de cette ruine. Elle y découvre une lampe à huile colossale qui abrite un génie.
Classiquement, une fois libéré, celui-ci lui propose à Charlie Spiegel de prononcer trois vœux. À priori, pouvoir réaliser trois vœux, est un miracle inespéré pour le commun des mortels. Mais l’histoire se complique car Charlie Spiegel est une femme à l’indécision maladive et, qui plus est, le génie apparu n’est pas le génie originel de la lampe mais un bouffon, prénommé Papé Theun qui a été enfermé dans la lampe en 1540 par l’Empereur Charles Quint. En effet, Papé Theun était historiquement le bouffon Bruxellois de Charles Quint.
Ainsi, d’une part Charlie Spiegel hésite, tergiverse et se plante dans la formulation de ses voeux et, d’autre part, le bouffon n’en maîtrise pas complètement les procédures. Ils vont, l’un et l’autre, entrer progressivement dans un huis clos qui va les amener à se découvrir mutuellement.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...
“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman, Sanson,...
La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point
Le chorégraphe Olivier Dubois répond une nouvelle fois à l’appel du Sacre. Après l’opus conçu pour Germaine Acogny en 2014, il poursuit, avec For Gods Only, sa collection de Sacre(s) du printemps qu’il confie cette fois-ci à la danseuse...