Concert : Roy Ayers – New Morning
Vibraphoniste mondialement reconnu, il est le Maître incontesté en la matière. Une philosophie hédoniste résumée dans son tubesque « Everybody Loves The Sunshine » de 1976.
Avec près de 65 albums produits en un demi-siècle (et mille fois samplés), le célèbre vibraphoniste est un véritable trait d’union entre soul, jazz, et hip-hop et a inspiré plusieurs courants musicaux, lorsqu’il n’a pas directement initié certains d’entre eux. C’est lui qui a incarné après plusieurs détours la mixture jazz-funk qu’était l’acid-jazz naissant, alors que lui-même s’est fait connaitre au tournant des années 90 en popularisant cette scène musicale et en fondant le label du même nom.
Peu d’artistes ont eu l’impact de Roy Ayers. Il a écrit les plus grandes pages de la soul, du jazz et du funk et continue une influence majeure auprès de tous les musiciens dans le plus large spectre musicale. L’univers du Hip Hop, tout particulièrement, lui doit beaucoup. Les célèbres B.I.G., Dr. Dre, A Tribe Called Quest, Mary J Blige and 2Pac ne sont qu’une partie minime de tous ceux qui ont utilisés un break de Roy Ayers.
ZINQ: première partie
Gabe Bridgewater est né dans la musique. C’est, encouragé par sa famille, qu’il commence son initiation d’abord par le piano, puis la batterie et c’est à la guitare qu’il trouve enfin sa place. A l’âge de 14 ans, il a la chance de faire ses premières expériences professionnelles en tournée avec sa mère, Dee Dee Bridgewater, lors de son projet « Red Earth: A Malian Journey ». C’est à cette époque que Gabe, alors qu’il est entouré d’un collectif de musiciens impressionnants, comprend qu’il a trouvé sa vocation.
Après plusieurs années de tournée sur divers projets, Gabe intègre Berklee College of Music, à Boston, pour élargir ses influences et approfondir son expérience de la musique. Il se retrouve en immersion dans une communauté musicale de haut talent où il aura notamment la chance de travailler en collaboration avec John Blackwell, Lenny Stallworth ou encore Theo Croker.
Riche de toutes ces rencontres, il rentre en France pour se concentrer sur son projet personnel, « Zinq ». Projet qui veut marier et transcender les influences musicales qui l’accompagne désormais. Ses inspirations vont de Jimi Hendrix, Sly Stone, Prince jusqu’à George Duke, Miles Davis, Thundercat, Anderson Paak avec des allures Hip-Hop dans la vague de J Dilla. Pour ce projet, Il se retrouve à la basse, chant et compositions, et s’est entouré à la batterie par Dharil Esso et aux claviers par Vincent Charrue. Il a terminé l’écriture de l’album et vient d’enregistré les deux premiers titres « Do Right Man » et « Ready ».
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Un siècle, vie et mort de Galia Libertad” à découvrir au Théâtre de la Tempête
C’est Galia Libertad – leur amie, leur mère, leur grand-mère, leur amante – qui les a réunis pour leur faire ses adieux. Ce petit groupe d’amis et de proches, trois générations traversées par un siècle de notre histoire, se retrouvent...
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...
“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman, Sanson,...