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Le MIMA accueille Boris Tellegen, la légende du graffiti, the Dutch Master!

1 décembre 2016
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Boris Tellegen aka Delta Todd Mazer Photography - 6 of 21

Nouvelle exposition au MIMA – Molenbeek : le MIMA accueille Boris Tellegen, la légende du graffiti, the Dutch Master!

Œuvres de Boris Tellegen

Du 2 février au 28 mai 2017

Tarifs :
Prix Public: 9,5€ – Reduction: 7,5€ – Ecoles: 5€

Lieux 
39 Quai du hainaut
1080 Bruxelles, Belgique

www.mimamuseum.eu

Du 2 février au 28 mai 2017

Le MIMA est un musée d’art actuel, unique en Europe, qui proposera au public de parcourir une histoire de la culture 2.0.

Aujourd’hui Internet, les voyages aériens low cost et le gsm déterritorialisent les cultures, elle deviennent mobiles. Comme le dit Jeremy Rifkin : « Le sentiment d’exister s’ancre moins à un lieu qu’à un état d’esprit. Les cultures se font transnationales et mondiales, exactement comme le commerce et la politique. »

Dans ce contexte de mondialisation fulgurante notre rapport à la culture change et apparaît un nouveau type de cosmopolisme, appelé ici culture 2.0, dont les identités et les affiliations multiples s’étendent sur la planète entière.
Cette culture qui émerge avec l’Internet à l’aube du millénaire, est virale.
A présent, les artistes communiquent directement avec le public. Ils n’ont plus besoin d’intermédiaires. C’est leur histoire que le MIMA vous raconte.

Il y a 15 ans, seuls quelques intellectuels mesuraient l’ampleur des bouleversements provoqués par les nouveaux moyens de communication. En se développant, la toile a redéfini nos cultures donnant toujours plus de place aux oeuvres qui en reflètent les valeurs, transformant les subcultures en mainstream. Pour cette raison, l’art urbain et ses avatars, se sont imposés comme un phénomène artistique majeur du millénaire.

Martin Irvine résume: « (le) street art…est un paradigme d’hybridité dans une culture visuelle globale, un genre post-postmoderne se définissant plus par une pratique en temps réel que par toute interprétation uniforme d’une théorie, d’un mouvement ou d’un message.»

CONCEPT
Le MIMA est un musée grand public pour les arts plastiques qui a la volonté d’apporter sa contribution à cet élan culturel empathique, iconoclaste, collaboratif,participatif, transversal, qui est en chacun de nous et ne demande qu’à se révéler.
La création qui y est présentée se veut décloisonnée, associant librement entre elles les cultures musicales (punk-rock, electro, hip hop, folk), graphiques (graphisme, illustration, design), sportives (skateboard, surf, sport extrême), artistiques (cinéma, art plastique, performance, BD, tatouage, stylisme) et urbaines (graffiti, street art).

Issus généralement de «sous-cultures», comme celles du street art, du skateboard ou du graphisme, les artistes représentés atteignent une notoriété remarquable dans la société, indépendamment du réseau des galeries et des centres d’art.

Désigné parfois comme art urbain, l’expression artistique du millénaire multiplie volontiers les expériences créatives hors galerie. À l’image de Parra, l’artiste hollandais auteur du logo du MIMA et skateboarder, créateur de vêtements (TIRED), plasticien, graphiste, réalisateur de clip vidéo et musicien (« LE LE »), dont chaque projet porte sa signature artistique et lui adjoint un nouveau public.

LA PROGRAMMATION
Trois étages sont consacrés à la collection permanente et aux expositions temporaires. La collection du musée comptera à terme une quarantaine d’oeuvres prêtées par une association de mécènes. Elle est le fil conducteur d’un récit illustrant une période qui commence en 2000 et qui se poursuit aujourd’hui.
Elle comporte, parmi d’autres, des oeuvres de swoon, Escif, katsu, Faile, Barry Mcgee, Ari Marcopoulos, Parra, Invader, Maya hayuk, Boris Tellegen, Fuzi UV TPk…
La présentation de la collection pourra s’adapter aux expositions temporaires pour leur apporter un cadre historique supplémentaire.

[Crédits texte et visuel : © communiqué de presse ]

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