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Intersections Art Gallery – Art Paris Art Fair 2016

24 février 2016
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Intersections Art Gallery Art Paris Art Fair 2016

Du 31 mars au 3 avril 2016

Grand Palais – Stand F19
Avenue Winston Churchill
75008 Paris

www.intersections.com

intersections logomark rgb-01 copieAprès avoir remporté un franc succès lors de l’édition 2015 d’Art Paris Art Fair, la galerie Intersections réitère sa participation au rendez-vous de l’art moderne et contemporain du Printemps à Paris.

La galerie conçoit un meltingpot passionnant, pluriel et fragile, autour de quatre artistes français, birmans et singapouriens. Cette sélection reflète la démarche de la galerie, installée à Singapour et son intérêt pour des artistes, qui s’impliquent dans des choix esthétiques au cœur de leurs préoccupations profondes, loin des modes et des codes établis de l’art contemporain.

– Identités d’Asie du Sud-Est –
La galerie Intersections dévoile, pour la première fois au public parisien, les œuvres de deux frères artistes birmans, Soe Soe (1967) et Khin Zaw Latt (1980). Avec sa série intitulée « In the Rain », Soe Soe invente un impressionnisme birman contemporain, à mi-chemin entre
abstraction et figuratif.

Avec des toiles intitulées « Still Alive » ou « Street Story », Khin Zaw Latt (KZL) évoque le sort des enfants des rues. Cette série de portraits est d’ailleurs le reflet de son travail caritatif comme son école « Bamboo School » fondée pour recueillir des enfants défavorisés.

Présentée en 2015 dans le cadre d’Art Paris Art Fair, la jeune artiste singapourienne June Lee Yu Juan poursuit sa quête identitaire et sa recherche d’une expression fusionnelle du passé et du présent, dans sa nouvelle série de calligraphies contemporaines. Avec « Calligraphic Matter », elle réinterprète des textes datant de la dynastie des Hans (206 avant J.C. à 220 après J.C.).

En bouleversant les frontières entre tradition et modernité, June Lee Yu Juan nous offre une vision à la fois nouvelle et familière, où la calligraphie chinoise est habilement pervertie, comme pour montrer comment se dissout une culture dans le creuset de mondialisation.

La pratique d’Hélène Le Chatelier, artiste française qui vit et travaille à Singapour depuis 2010, joue sur la dualité entre sa technique issue de la Renaissance italienne et la peinture chinoise, entre la vision du corps dans la peinture occidentale et dans l’esthétique chinoise.

En explorant les traces qu’impriment sur les corps le temps et les émotions, l’artiste crée une cartographie de notre mémoire. Cette perception fait écho à la notion du temps dans les philosophies
orientales.

A travers le choix d’un medium commun -l’encre de Chine sur papier- et d’un sujet récurrent – la mémoire et l’écriture, les chemins de June Lee Yu Juan et d’Hélène Le Chatelier finissent
par se croiser.

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