¡Picasso! L’exposition anniversaire – Musée Picasso Paris
¡Picasso! L’exposition anniversaire Jusqu’au 31 janvier 2016 Du mardi au vendredi de 11h30 à 18h Le samedi et dimanche de 9h30 à 18h Fermé les lundis, le 25 décembre, le 1er janvier. Les 24 et 31 décembre, le musée fermera ses portes à 17h00 (fermeture des salles à 16h40). Tarif plein : 12,50 € Réservez en ligne Musée Picasso |
Jusqu’au 31 janvier 2016 Déployée sur les cinq niveaux de l’hôtel Salé, l’exposition anniversaire « ¡ Picasso ! » illustre la continuité et la profonde unité de la collection et de l’histoire du musée. Le Musée national Picasso-Paris conserve une collection couvrant toutes les périodes de sa création et tous les domaines, dont les « Picasso de Picasso » venus directement de l’atelier de l’artiste. Les archives personnelles de Pablo Picasso, puis celles du musée, sont au cœur de ce projet d’exposition. Elles résonnent avec les chefs-d’œuvre et, en vaste majorité inédites, permettent de lire autrement la vie, le processus créatif et la diffusion de l’œuvre du maître. Un grand collage visuel invite les visiteurs à parcourir les cinq niveaux de l’hôtel Salé en partant de l’histoire du musée (sous-sol), pour découvrir une présentation chronologique d’œuvres majeures (rez-de-chaussée et 1er étage), puis « Pablo Picasso, figure publique » (2e étage), et rencontrer le « Picasso intime » (3e étage). C’est une lecture contemporaine des œuvres de Picasso qui alterne entre des salles proposant un accrochage dense et des séquences plus intimistes. L’exposition en un clin d’œil : – 5 parties distinctes : De l’atelier au musée, Picasso 1897-1929, Picasso 1922-1973, Picasso figure publique, Picasso intime Le commissariat : 10 commissaires Violette Andres Le parti architectural de la scénographie s’articule autour d’une famille de formes et de dispositifs d’exposition modulaires. Pensé par Jasmin Oezcebi et implanté sous la forme d’un parcours libre, cet ensemble accompagne l’œuvre de Picasso et propose d’établir un lien formel avec le cadre bâti du musée. Quatre accents architecturaux (détails et dessins ornementaux spécifiques) participent à l’identification des territoires de l’exposition. Ces éléments de style s’inspirent et évoquent les différentes techniques de composition dans l’œuvre de Picasso : la superposition, le collage, l’assemblage, et la déconstruction. Le jeu des modénatures, de pleins et de creux, l’alternance des finitions mate et brillante constituent des variations du langage et en affirment le mouvement. La transparence des dispositifs permet une superposition et une recomposition visuelle des différents niveaux de lectures, et propose au visiteur d’embrasser d’un même regard les œuvres de différents médiums et les documents d’archives. Le blanc a été préféré afin de ne pas divertir l’œil du visiteur des différentes palettes de l’artiste. L’accrochage instaure ainsi une proximité avec les œuvres, le visiteur se trouvant progressivement immergé au cœur du mouvement créatif, invité à déambuler librement autour des œuvres, à les découvrir dans leur singularité et leurs échanges. A découvrir sur Artistik Rezo : [Source texte : communiqué de presse] |
Articles liés
Les Regards de l’ICART 2025 : l’appel à candidatures est ouvert !
Les Regards de l’ICART revient cette année pour sa 7e édition ! Initié par des passionnés de cinéma en perpétuelle quête de nouveauté, ce tremplin cinématographique a pour but de récompenser et diffuser le travail de jeunes réalisateurs et...
Lou Olmos Arsenne, un artiste contemPOPrain
J’ai eu le plaisir d’échanger un temps avec Lou Olmos Arsenne, artiste peintre originaire d’une station de sports d’hiver dans les Alpes et résidant à Paris depuis maintenant huit ans. Très intriguée par sa peinture, j’ai découvert ses tableaux...
“Quasimodo, Le Sonneur de Notre-Dame” : une ode à la vie et à l’amour, à découvrir à l’Alhambra
Embarquez avec nous ! Venez vivre en famille une aventure extraordinaire pleine de rebondissements avec cette adaptation théâtrale et musicale du célèbre roman de Victor Hugo ! À Paris, au XVe siècle, la cathédrale de Notre-Dame cache un personnage énigmatique, recueilli...