Le médecin malgré lui, Los angeles 1990 – Au Théâtre Lucernaire
Le médecin malgré lui, Los angeles 1990 De Molière Mise en scène Quentin Paulhiac et Aurélien Rondeau Avec Augustin de Monts ou Florent Chesné, Sophie Staub ou Anne Werner , Quentin Paulhiac, Pierre Khorsand ou Michaël Cohen, Aurélien Rondeau, Sébastien Faglain, Lydia Besson, Pierre-Edouard Bellanca, Jérôme Rodriguez ou Benjamin Bourgois Du 4 novembre 2015 au 10 janvier 2016 Du mardi au samedi à 18h30 et le dimanche à 16h30 Tarifs à partir de 26€ Durée : 1h10 Théâtre Le Lucernaire |
Du 4 novembre 2015 au 10 janvier 2016
Sganarelle vit dans les bas-fonds de Los Angeles avec sa femme, Martine, qui souhaite se venger des coups qu’il lui donne. L’occasion se présente quand elle rencontre deux hommes de main à la recherche d’une personne capable de guérir la fille de leur boss. Elle leur explique que Sganarelle est un médecin extraordinaire, mais qu’il n’avouera ses capacités qu’après avoir été dûment frappé… Le parcours d’un usurpateur, des terrains vagues de Los Angeles aux riches ghettos de Bel Air. Une comédie savoureuse et qui reste la plus populaire et la plus nerveuse des farces de Molière. (Spectacle créé en 2009 au théâtre de la Gaîté Montparnasse à Paris) Note d’intention du metteur en scène Notre mise en scène vise à faire entendre cette pièce du 17ème siècle d’une façon pertinente et… moderne ! Pour cela, nous nous sommes fixés des contraintes absolues quant au respect de la lettre et de l’esprit de l’œuvre originale tout en nous autorisant une totale liberté dans son traitement. Nous avons choisi de déplacer l’action à Los Angeles car l’outrance des personnages trouve une résonnance immédiate dans les archétypes sociaux de la population américaine. Les personnages sont ici des figures américaines typiques : des « homeless », des émigrés mexicains, un « bodyguard »… Ensuite parce que cette société, avec ses clichés, ses poncifs, fait dorénavant partie de notre imaginaire collectif. Dès lors, mettant en scène des figures connues et identifiables, nous proposons au public un éclairage nouveau sur la satire. Nous ambitionnons que le propos s’en trouve renforcé malgré l’apparente irrévérence envers l’auteur. Enfin, nous espérons ne pas avoir oublié l’essentiel… pourvu qu’on rigole ! [Source texte : communiqué de presse] |
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