Retro – Solo Show à la GCA Gallery
Retropolis – Échos du Futur Avec Retro en Solo Show Du 18 juin au 5 septembre 2015 GCA GALLERY |
Du 18 juin au 5 septembre 2015
« Retropolis – Échos du Futur » est le premier Solo Show de Retro à la GCA Gallery à Nice. Le vernissage et la présentation du catalogue en présence de l’artiste est prevue pour le jeudi 18 juin 2015 à 18h. Retro, de Toons à Retro Graffitism… Retro, vit et travaille actuellement à Paris. Il découvre le graffiti avec SprayCan art en 1988 et il commence à tagger en 1990. En suite, sous l’impulsion de WEISS pour la créativité et de FORM pour le côté énergique toujours en alerte et prêt à bouger, ils ont commencé à peindre assez régulièrement dans les terrains, les rues, les voies ferrées et la périphérie de Paris. Ils ont aussi laissé leur traces sur quelques trains, jusqu’en 1996 quand il commence à relantir son activité. Déjà en 1994 il avait commencé à travailler dans un atelier avec le bois et de la peinture, en faisant des meubles, des lampes, des enseignes et de lettres découpées. En 2000, il est devenu graphiste/illustrateur dans une importante agence de communication WEB, pour devenir en 2007 Directeur Artistique.
En effet, c’est en essayant de synthétiser cette démarche, qui a par ailleurs, duré plusieurs années, qu’il décide de changer sa signature de Toons, par celle de Retro Graffitism. Retro Graffitism, se veut une transposition du Retro Futurism, vu sous l’angle du graffiti : Et si ? Son œuvre se définit par des fresques, des objets en volumes, peints et découpés, des illustrations, qui sont une fusion de graphisme, d’abstraction, de typo et de figuratif. Pour Retro, Il n’y a plus de frontières entre les expressions visuelles, à nous de les mélanger et de les remixer à l’infini…
Se jouant d’époques et de matières. De codes visibles ou d’effets imperceptibles. Usant aussi bien du crayon que de la scie. D’un geste franc ou d’une ligne. Retro pose, dispose et oppose chacun de ses éléments. Sur ses papiers c’est en une diagonale franche qu’il sépare son « monde d’en haut » de son « monde d’en bas ». Aux perspectives chamboulées de ses cités fouillis répondent une géométrie apaisante et quelques codes choisis. En traits, en lignes, de ronds à carrés, d’éléments figuratifs à objets futuristes, il nous immerge dans sa fantaisie. Précis, fournis et détaillés, ses dessins sont à l’opposé de ses œuvres mécaniques. De bois récupérés aux couleurs ternies, il juxtapose ses surfaces planes à une savante typographie et nous berce de nostalgie. Qu’il tranche ou qu’il trace. De ronds ou de carrés. De lignes en déliés. D’architectures en mondes incarnés. De lettres en chiffres, de couleurs au crayonné. De graffitisme à Futurisme. Alliant du plus épuré au plus sophistiqué, comme sortie des mains d’un maitre artisan ou de la plus prestigieuse Académie, l’œuvre de Retro se nourrit d’anachronismes. Nous jetant hors du temps, faisant de nous les sujets d’un équilibre précaire, les acteurs d’un monde imaginaire, il rompt nos repères. En cherchant à nous déstabiliser, il ne fait pourtant que nous questionner : « et si tout venait d’ailleurs ? ». Retro et son actualité
Vers la fin du mois d’avril, Retro et 14 autres artistes de street art, ont été invités par la Mairie de Paris, à réaliser une œuvre sur la palissade qui recouvre le café Monde et Médias de la Place de la République dans le 10ème arrondissement de Paris. La palissade restera en place en attendant la réouverture du lieu. Ce projet a été réalisé en partenariat avec la Galerie Wallworks.
Une exposition en accès libre et ouverte à tous, du 7 au 17 mai dans la Grande halle de la Villette. Une occasion unique de découvrir 83 figures incontournables du street-art aujourd’hui international. L’exposition se clôture par une vente aux enchères le 20 mai, au bénéfice de l’association caritative Emmaüs. L’intégralité des sommes récoltées à l’issue de la vente sera ainsi reversée à l’association pour financer des projets d’aide aux populations en grande précarité, en France et dans le monde. Le catalogue de l’exposition est disponible ici Voir les expositions de la GCA Gallery Interview avec Geoffroy Jossaume par Sophie Pujas Instagram: retrograffitism [Source texte : communiqué de presse] Visuels: ©Paul Fargues, Retro, Sans titre, 2015 // ©Paul Fargues, Retro, 1980, 2013 // ©Paul Fargues, Retro, Ville d’en haut couleurs (Retropolis), 2015// ©Claudia Victoria, Palissade Place de la République // ©Retro |
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