Yuriko Takagi – The Birth of Gravity – galerie Lazarew
Ses travaux font partie de prestigieuses collections comme celles du musée national d’Art moderne de Tokyo ou du Shangai Museum, mais l’artiste n’avait pas été exposée en France depuis 1988.
Près de 15 ans séparent les premières photos de la série The Birth of Gravity des dernières. Quinze années pendant lesquelles Yuriko Takagi a fait de ces recherches son projet le plus personel, parcourant le monde à la recherche d’endroits où la nature révèle sa splendeur. En Namibie, en Inde, en Argentine, à Okinawa, en Chine et ailleurs, la photographe a établi une relation de confiance avec la population locale, au point de la convaincre de poser nu afin de se fondre à la nature. Corps qui épousent la roche, qui imitent la verticalité des cactus, qui contrent la gravité des terrains… Yuriko capture les instants de grâce nés d’un dialogue entre la nature et les corps.
Yuriko Takagi – The Birth of Gravity
Du 15 novembre 2012 au 15 janvier 2013
Du mardi au vendredi, de 14h à 19h
Le samedi, de 11h à 20h
Vernissage le 15 novembre 2012 à 18h30
Galerie Lazarew
14 rue du Perche
75003 Paris
Articles liés
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...
“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman, Sanson,...
La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point
Le chorégraphe Olivier Dubois répond une nouvelle fois à l’appel du Sacre. Après l’opus conçu pour Germaine Acogny en 2014, il poursuit, avec For Gods Only, sa collection de Sacre(s) du printemps qu’il confie cette fois-ci à la danseuse...