Les Enfants du paradis – drame de Marcel Carné
Bien que Baptiste soit secrètement amoureux d’elle, c’est Frédérick qui parvient à gagner ses faveurs. Mais Garance est inquiétée dans une tentative d’assassinat commise par son ami Lacenaire, un anarchiste receleur doublé d’un assassin. Pour échapper à cette affaire, Garance accepte la protection d’un comte. Sept ans plus tard, alors que Deburau et Lemaître sont devenus des artistes célèbres, Garance réapparaît.
Chef-d’œuvre absolu avec Marcel Carné à la réalisation et Jacques Prévert au scénario, Les Enfants du paradis est considéré comme un grand classique du cinéma français faisant partie du patrimoine mondial. L’affiche est une succession de noms devenus désormais mythiques, Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur, Marcel Herrand… Avec, au sommet, l’inégalable Arletty.
[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=G1Nz-U9znnY[/embedyt]
Les Enfants du paradis (1945)
De Marcel Carné
Avec Arletty (Garance), Jean-Louis Barrault (Jean-Baptiste Debureau), Pierre Brasseur (Frédérick Lemaitre), Pierre Renoir (Jéricho), María Casares (Nathalie), Gaston Modot, Fabien LorisRôle (Avril), Marcel Pérès (le directeur des funambules)
Durée : 190 min.
Articles liés
“Chaque vie est une histoire” : une double exposition événement au Palais de la Porte Dorée
Depuis le 8 novembre, le Palais de la Porte Dorée accueille une double exposition inédite, “Chaque vie est une histoire”, qui investit pour la première fois l’ensemble du Palais, de ses espaces historiques au Musée national de l’histoire de...
“Les Imitatueurs” à retrouver au Théâtre des Deux Ânes
Tout le monde en prend pour son grade, à commencer par le couple Macron dans un sketch désormais culte, sans oublier Mélenchon, Le Pen, les médias (Laurent Ruquier & Léa Salamé, CNews…), le cinéma, la chanson française (Goldman, Sanson,...
La danseuse étoile Marie-Agnès Gillot dans “For Gods Only” au Théâtre du Rond Point
Le chorégraphe Olivier Dubois répond une nouvelle fois à l’appel du Sacre. Après l’opus conçu pour Germaine Acogny en 2014, il poursuit, avec For Gods Only, sa collection de Sacre(s) du printemps qu’il confie cette fois-ci à la danseuse...