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Popeck – Même pas mort – Théâtre l’Archipel

18 septembre 2017
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Popeck-Theatre larchipel

Popeck – Même pas mort – Théâtre de l’Archipel

Avec Popeck

À partir du 22 septembre 2017

Le vendredi à 19h et le samedi à 17h

Tarifs : 18€ à 29€

Réservation en ligne ou par tél. au 01 73 54 79 79

Durée :1h15

Théâtre de l’Archipel
17, boulevard de Strasbourg
75010 Paris
M°Strasbourg Saint-Denis

www.larchipel.net


À partir du 22 septembre 2017

Ce spectacle est l’occasion de (re)découvrir et de rire sur ses plus grands succès MAIS aussi sur de nouveaux sketches. Popeck, personnage grognon et râleur, reconnaissable à son accent yiddish, son costume trois-pièces et son chapeau melon est sans aucun doute, l’un des précurseurs du stand-up et un des derniers grands du rire.Il demeure fidèle à son personnage : naïf, drôle et d’une exquise courtoisie.

Le spectacle raconte à travers des sketches récents et anciens, dont certains n’ont jamais été enregistrés, le parcourt de l’artiste dans son one man show. Le principal ressort de cette fresque comique c’est l’impacte immédiat que produit le personnage de Popeck, de la première à la dernière minute de ses spectacles. Un public des plus jeunes aux moins jeunes lui est acquît de longue date. Son agressivité permanente, sa misogynie, sa mauvaise foi, curieusement lui valent en retour une sympathie et l’assentiment inconditionnel de toutes spectatrices et spectateurs confondus dans un même élan de fou-rire. On aime Popeck, un point c’est tout. Il ne déçoit jamais, son humour qui semble venir d’ailleurs, avec son accent impayable, est pourtant bien de chez nous. Popeck a su après plus de trente ans de carrière, continuer à nous surprendre et amener de nouveaux spectateurs à le découvrir pour la première fois sur scène.Tous ses sketches déclenchent le rire immédiat : La leçon de golf, La visite de l’Eternel, qui le somme de mettre sa fougue comique au service d’un engagement plus sérieux, la nucléarisation qui menace les espèces sur la planète terre, et qui s’attire des réponses totalement farfelues sans jamais choquer la religion. Popeck raconte son parcourt depuis son enfance en France. Son père surtout, qui l’a élevé, et qui est le principal vecteur de son humour. En les incontournables : Levdîner chez Maxim’s, Moïse le poisson rouge, Le Gaga de la gare du Nord, Les pigeons de Paris, ses con its avec son épouse et sa belle-mère qu’il accuse de tous les maux. En n Popeck chanteur et musicien, là soudain en quelques notes il fait passer du rire à l’émotion, par les hommages qu’il rend à Raymond Devos, Bourvil, Gianni Esposito, Fernandel, Ouvrard (dans la rate qui se dilate). Une soirée qui laisse le public unanime dans la joie et la reconnaissance dû à un artiste qui n’a jamais cédé à la compromission, aux facilités ni à la vulgarité. Et comme le dit Popeck dans sa dernière réplique, il faut rire cinq minutes par jour, c’est indispensable au moral et ça permet de faire la gueule pour le reste de la journée, sans danger pour la santé.

Né de père roumain et de mère polonaise, POPECK comprend très vite que l’humour est un passeport pour la com- munication. Déjà enfant, il rentre en désaccord avec le directeur de son école qui refuse de lui rémunérer ses heures de classe ! Son père lui conseille d’apprendre un « bon métier », en lui disant : « Comme ça, si tu as besoin d’une main secourable, tu en trouveras toujours deux au bout de tes bras ». Il devient ébéniste dans le faubourg Saint-Antoine puis coursier chez un huissier. Il s’inspire des salles d’audience du Palais de Justice pour écrire ses premiers sketches. « L’ Ecluse » « L’ Echelle de Jacob », « Le Café d’Edgar », lui permettent de réaliser ses premières scènes. « Les caleçons molletonnés » lui apporteront le succès. C’est en Décembre 1990 qu’il triomphe à l’OLYMPIA. Il enchaîne sur la scène du PALAIS DES CONGRES en 1992 puis celle du CASINO DE PARIS en 1995. Popeck n’est pas seulement un humo- riste, c’est aussi un acteur que l’on remarquera au cinéma auprès de Louis de Funès dans LES AVENTURES DE RABBI JACOB. Il apparaît aussi dans LE PIANISTE de Romain Polanski. L’idée de s’investir dans une comédie s’est imposée à lui comme une évidence. Il abandonne son célèbre accent pour jouer une pièce de Pierre Chesnot DRÔLES D’OISEAUX. En septembre 1998, Francis Joffo fait appel à lui aux côtés de Michel Roux, dans la pièce FACE A FACE pour 300 re- présentations au théâtre du PALAIS ROYAL. Il parcourt les villes de France avec L’AVARE de Molière, qu’il joue aussi en Suisse, en Belgique pour terminer à la Réunion. La critique est unanime et reconnaît en POPECK un grand comédien.

[source : © communiqué de presse ]

 
 

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